Les animaux de compagnie & les animaux messager sur le front.

Bonjour,

J’affectionne tout particulièrement ce type de photos avec nos amis les bêtes, qui savent nous réconforter dans les moments difficile
A vos photos messieurs

Amicalement

Salut Pascal,

Voici les performances au dos de la photo du beau matou de tranchée




On notera le splendide couvre culasse du Lewis.

Enfin, un livre superbe sur les équidés avec un descriptif par pays (France, Canada, Australie...).




Reçu ce Tommy avec un magnifique chiot.

On perçoit la joie du soldat.  




A bientôt   Charles  

Bonsoir,

Merci d'avoir ce sujet très intéressant !

Je m'en vais chercher dans mes photos de quoi l’alimenter.

Cdlt,
Loïc

Hello ,petite participation

Bonjour,

Voici un livre en anglais sur les animaux sur le front avec de belles photos et anecdotes.

Le chien sur la couverture du livre s'appelle Sammy du 1/4 Northumberland Fusiliers. Il est venu en France avec ce prestigieux régiment en avril 1915. Il a été blessé et gazé à Ypres.

Il a connu les tranchées de la Somme et a été blessé plusieurs fois.

Il a le regard vif des bons chiens  




Je vais chercher des photos dans ma doc.  


Sur les 700 km de tranchées de la Manche à la Suisse, les Français et les Britanniques étaient sur des secteurs distincts et se croisaient peu.  Néanmoins les poilus  partageaient les mêmes souffrances et un immense respect s'imposait donc à tous.
   



Charles

Bonjour,

28 août 1918

Un soldat inconnu avec la section des signaux des ingénieurs royaux met un message dans le cylindre attaché au col d'un chien au dépôt central du service de chiens messenger à Étaples-sur-Mer.

(il porte quatre chevrons de service outre-mer sur cette manche droite et le chien a été identifié comme un heeler bleu australien, chien de bétail. )

" L'utilisation de chiens messenger pour les communications, bien qu'une arrivée tardive dans l'Arsenal des communications, ait eu lieu à la fin de la guerre a été bien testée et est devenue une arme importante. En novembre 1918, la brochure de formation b.e.f. s.s. 135 " la division dans l'attaque " a ordonné qu'un groupe de chiens messenger soit attribué à chaque bataillon car leur emploi pourrait sauver l'utilisation des coureurs.

Salut Pascal,
Bonjour à tous,

Très belle photo, ce chien est en pleine souffrance, cela se sent

Voici quelques CPA et une photo comme convenu :




Et une compagnie du Machine Gun Corps, ce chien est vif et espiègle :




Amicalement  Charles

Bonjour,



Elgo

Bonsoir,

A trench message dog of the 5th Battalion, Manchester Regiment stands on a sandbagged wall as he waits for an officer (left) to complete the note he is writing, Cuinchy. 26 January 1918.

British WW1 Trench Dogs.
The initial official trial was carried out in late 1916 when Col Winter RA of 56th Brigade RA attached to 11th Division used 2 of them for communication from FOA at Wytschaete Ridge where the dogs carried messages 4000 yards to the Brigade HQ over unknown ground and these were the first messages received where all other systems had failed.

A War Dog Training School was set up at Shoeburyness in Essex, and eventually an officer, Major Waley MC R.E. was appointed in France to superintend their use in the field and a central kennel was formed at Etaples by the Signals Section R.E. . The dogs (usually 3) and a handler were sent from there to sectional kennels, usually with a Sergeant with sixteen men and 48 dogs, behind the front line where battalion handlers collected them and took them up the line. The central handler remained at Battalion HQ to oversee the use of the dogs.
The school expanded as the war progressed and supplied dogs to most fronts most notably Salonika where they were used for sentry work in forward positions and listening posts. Eventually as the call-up increased towards the end of the war the dogs were used at home as guard dogs for munition factories etc to release men for the front who had been guarding them. The French changed their minds after seeing the dogs in action and several were supplied to them, especially General Gourand who was the most supportive. Paul Mangin was a Sergeant in the French Army whose most famous dog was Satan of Verdun.

Dogs were then used for three main duties, messengers, sentry and guard use. The supply of dogs was increased by Battersea Dog Home and the others around the country supplying strays. Some members of the public also gave their dogs for the army. Men in the trenches were forbidden to impede or interfere with dogs on a run as a court martial offence and the dogs had tin cylinders and coloured tallies on their collar to distinguish the unit they were with. Use of the dogs saved many lives as they had better survival chances than runners. The school at Shoeburyness was proving too small so it moved in 1917 to Mateley Ridge above Lyndehurst where it remained until May 1919 when it moved finally to Bulford on Salisbury Plain.

An estimated figure of 7500 dogs were killed in action.

(Unofficially, small terriers often became soldiers’ pets and these dogs were very useful in the trenches as they were good rat-killers.)




An officer of the York and Lancaster Regiment, probably 2/4th Battalion part of 187th Brigade, feeds a puppy outside a reinforced dugout in a trench near Roclincourt, on the 62nd Division front between Oppy and Gavrelle.
13 January, 1918.




Le petit renard mascotte de №. 32 e Escadron à l'aérodrome de Humieres, St Pol, France, 5 mai 1918.




"Gode Kammerater" (Good Comrades)

Danes in the German Army 1914-18
(1896 7.7cm Krupp Field Gun)

In the First World War, around 26,000 Danish-speaking German citizens from Northern Schleswig fought in the German army, because of Denmark’s defeat and the annexation of Schleswig-Holstein by Prussia in the Second War of Schleswig in 1864. As a result, a large group of Danes became German citizens, and were thus obliged to do military service in the German army.










5 août 1914

Soldats du Seaforth Highlanders dans une tranchée peu profonde avec un chien, près de La Gorgue, France.

L ' armée britannique s'est installée dans des tranchées peu profondes et de fortune. La pensée était qu'ils ne seraient pas là pour longtemps. Voici à quoi ressemblait la vie là-bas.









 Des officiers de chars britanniques se détendent autour d'un joueur de gramophone avec leurs chiens de compagnie, dans leur camp à La Lovie, une ville au nord de Poperinge 26 septembre 1917.
L-r : Major Richard Cooper, (assis) Capitaine Wilfred Wyatt, lieutenant Gerald Edwards, deuxième lieutenant Gerald Butler et (assis) lieutenant Edward Sartin.
(Ils ont tous survécu à la guerre)

































Le mortier de tranchée allemand capturé à la troisième école de mortier de tranchées de l'armée, St Pol (Saint-Pol-sur-Ternoise), en ce jour en 1917. La mascotte singe de l'école est montrée.







Nurses at the St John Ambulance Hospital at Etaples, waiting to see Queen Mary of Teck, 6th July 1917. One of the nurses is holding Billy, the hospital's mascot.




Route d'Ailly proche d'Essertaux dans la Somme. 53ème R.I partant au repos. Avril 1918.




Les troupes allemandes et leur chien en patrouille attendent de se rendre à une école pour former des chiens messagers derrière le front. Notez le porteur de message attaché au collier du chien. Mai 1917.

Photographe officiel allemand
Image gracieuseté de l'Imperial War Museum Londres




Voici une photo d’un soldat du Middlesex Régiment accompagné de son chien.
A noter l’insigne de spécialité « Lewis Gunner » sur sa manche.




Un soldat britannique "Poignée de main" avec un chaton sur une rive enneigée à Neulette, Pas-de-Calais. 17 décembre 1917.
(Source photo- IWM Q 6400)




Une infirmière de la Première Guerre mondiale avec un chien de secours. (Le chien a été formé pour localiser les blessés sur le champ de bataille)




L ' officier britannique et son chien au cimetière de guerre des Wavans où le major James McCudden est enterré, le 13 juillet 1918.
McCudden est resté en Angleterre jusqu'au 1918 juillet, mais a bientôt reçu le commandement de №. 60 et retour en France. Le matin du 9 juillet 1918, il s'est rendu à la maison de son fiancé, Miss Alex-Tweedie à Whitehall Court. Pendant que là, McCudden lui a dit qu'il voulait dépasser von Richthofen, le Baron Rouge, qui avait été tué en action quelques mois auparavant. McCudden a traversé la chaîne anglaise. Voler dans la brume lourde, il a décidé de se rendre à Auxi-le-Château, France. Environ 90 secondes après le décollage d'Auxi-le-Château, son avion a plongé dans le sol. Le caporal W.Howard s'est battu à travers le feu pour libérer McCudden, allongé à côté d'une des ailes, car il n'avait pas porté sa ceinture de sécurité. James McCudden est mort à 20:00 ans le 9 juillet 1918 d'un crâne fracturé, dont il n'a jamais repris conscience. Les restes de McCudden ont ensuite été enterrés au cimetière de guerre des Wavans, avec à peine trois douzaines de tombes, dans le Pas de Calais, en France.
(Source photo- IWM (Q 9042)

L'homme dans sa grandiose connerie de l’époque et d'autres époques d'ailleurs aussi, y a même trouvé le moyen d'y associer des animaux...
Fred

Hello , les photos sont superbes

Bonsoir les Amis

Merci pour ce magnifique post abondamment illustré !

Les colorisées sont magnifiques !

Amitiés à tous et bonne soirée.

JPaul62

Bonjour,

Je viens de découvrir un mémorial récent pour les animaux à Pozières (80) oû les australiens ont laissé des milliers de Diggers au tapis.

Possible d'avoir quelques photos à partager par les samariens locaux?

SVP, pas de photos issus du Net si possible.  

  Charles  

Bonjour Kougar

Quelle superbe photo de ces soldats arrassés au repos  illuminés par ce magnifique arc en ciel et au loin cette légère brume !

Merci !

Amitiés et bonne journée.

JPaul2

Bonjour Pascal,
Très intéressant ton post avec de belles photos.
Voici ma petite contribution, une photo du Colonel DROUIN avec sont petit chien à Nieuport 1916.
Amicalement.

Bonsoir kougar,

Un post que j'aime beaucoup.

Voici une photo trouvée sur La Toile au hasard de mes recherches.



Jean-luc
....ou plutot une tisane à cette heure-ci

Bonsoir messieurs,

Merci Jean-Luc et merci Michel très chouette photo

Amitiés

Bonsoir,

Un soldat britannique tient une pie à l'entrée d'un poste de mitrailleuse allemande capturé, Peronne le 3 septembre 1918.

Amicalement

Bonjour Pascal,
Jolie photo, avec de beaux casques aussi ...
j'ai retrouvé une petite photo avec un texte indiquant que les chats étaient très appréciés dans les tranchées.
Amicalement

Bonjour Michel,

Oui je pense également que les chats devaient être appréciés dans les tranchées pour leurs qualités de chasseurs de rats et souris


Cette photographie d'un sergent français et de son chien pendant la Première Guerre mondiale ressemble à un enfer post-apocalyptique. En fait, ce duo faisait partie d'une équipe de médecins dont le travail consistait à localiser les soldats blessés sur le champ de bataille et à les ramener à l'hôpital de campagne. Ils ont également récupéré les morts. si possible, pour l'inhumation.
Le nez acéré du chien a été utilisé pour trouver des survivants ainsi que des soldats décédés qui pourraient être cachés sous les décombres ou dans la boue.
Il faut se demander à quel point cette protection a été efficace pour le pauvre chien. Même si le masque réussissait à retenir le gaz, il laisserait sûrement des toxines sur sa fourrure qu'il lécherait plus tard. Il est aussi surprenant que le chien puisse encore faire son travail de détection de soldats tombés au combat, on pourrait penser que le masque bloquerait son odorat, mais apparemment même des gaz toxiques et des filtres ne peuvent pas empêcher ce brave chien de faire son devoir .




Soldat britannique et sa mule sur le front occidental pendant la Première Guerre mondiale.

(Vue Facebook)

La musique du 174e RI et ses chiens





bien cordialement
Fred

Bonjour,
Un groupe de musiciens du 1 er bataillon du 9 eme zouaves. Et leur mascotte au centre.
Cordialement

Bonjour,



Elgo

Bonjour.
En effet nos compagnons à poils,à plumes bien qu'ayant été avec nos soldats, sont trop peu souvent évoqués
Sympa d'en parler
À bientôt

Bonjour,

(Vue Facebook)




La mascotte de chèvre des Royal Écossais, chemin Amiens-Albert, novembre 1916.

(Vue Facebook)



(En version colorisée)




Vue sur Facebook:

Pour le mémorial Day, Si nous commémorons le sacrifice des sammies, pensons à tous les animaux qui laissèrent leur vie en accompagnant leurs maîtres sous les bombardements et autres tirs ennemis :
L'histoire du Sergent Stubby, le chien le plus décoré de la première Guerre mondiale.
Le caporal Robert Coroy n’aurait jamais pu imaginer que son chien, Stubby, puisse devenir un héros au milieu des tranchées de la première Guerre mondiale. Trouvé sur le campus de l’Université de Yale et amené clandestinement par son maitre en France, ce bâtard deviendra un atout pour tous les soldats qui ont pu le côtoyer et un héros décoré quatorze fois. Stubby a servi dix-huit mois dans les tranchées du nord de la France, participant à quatre offensives et dix-sept batailles en n’étant blessé qu’une seule fois, prouvant ainsi qu’il méritait son nom signifiant « trapu » ou « courtaud » en anglais. Stubby a eu son baptême de feu le 5 février 1918 au chemin des dames et, durant toute la bataille, il a été sous les obus allemands, mais n’a jamais défailli. Il retrouvait des blessés dans le no man’s land tout en maintenant le moral des troupes par sa seule présence et les tours de cirques appris par son maitre.
Le mois suivant, la division fut redéployée dans le secteur de Saint-Mihiel où, un mois plus tard, il est blessé par une grenade allemande. Renvoyé à l’arrière pour se faire soigner, la petite mascotte a pu guérir et en prime, améliorer le moral des blessés et des troupes revenant du front, où il est reparti peu de temps après sa guérison.
Il a même de par son odorat pu alerter une attaque au gaz moutarde et ainsi, contribuer à sauver des milliers de soldats. Ses compétences ne s’arrêtaient pas là, grâce à son expérience, Stubby pouvait repérer le bruit des obus bien avant que les soldats ne les entendent et ainsi prévenir ses compagnons pour qu’ils se mettent à couvert ou encore entendre les cris des blessés  pour guider les équipes de brancardiers. Le petit soldat à quatre pattes doit son grade de sergent à la capture d’un espion allemand qu’il a attaqué dans l’Argonne, après l’avoir entendu parler allemand, langue à laquelle, il n'était pas habitué. Il devient ainsi le premier chien gradé de l’armée des États-Unis.
Une fois de retour aux États-Unis, Stubby devient une célébrité et participe à de nombreux défilés à travers tout le pays. Il meurt de sa belle mort auprès de son maitre, en 1926.
Photos : Stubby - avec son maître - à l'honneur











An officer of the 444th Siege Battery, Royal Garrison Artillery (RGA), smokes a pipe as he supervises a kitten balancing on a 12 inch gun shell near Arras, 19 July 1918 IWM (Q 6860)

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Royal Garrison Artillery officers playing with animals outside their dug outs near Arras, 19 July 1918 IWM (Q 6863)

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A puppy sitting on an ambulance of the St. John Ambulance Association No. 2 Canadian General Hospital, Le Tréport, France

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Soldats Anglais accompagnés de leurs chiens.

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Un membre du 369 e Régiment d'infanterie (alias ′′ Harlem Hellfighters ′′) détient un chiot qu'il a sauvé pendant la Première Guerre mondiale (1918)

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Un groupe de soldats britanniques jouant avec leur mascotte animal de compagnie, un babouin, qui porte une casquette de l'armée britannique, et qui a une pipe dans la bouche. Ce sont des militaires du Royal Engineers d'Afrique du Sud, qui ont atterri en Belgique en octobre 1914, ont servi dans les trois batailles d'Ypres, Loos et Somme, maintenant en service sur le front italien.

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La chèvre serjeant Billy.

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