il est parfois ecrit dans certains recits d époque qu un cavalier qui avait du abattre son cheval car dans un etat lamentable eprouvait parfois plus de douleur qu a la perte de ses camarades,ils ont souvent eu la vie sauve grace a leur cheval ,qui lui ne devait pas rire sur un champ de bataille avec le bruit, la cohue, les obstacles et n oublions pas les pieges qui lui étaient destinés