The Indian Corps : le soldat indien

Un site concernant l'armée indienne: objets, lieux de combats, photos...
Pas mal du tout pour un sujet aussi méconnu de l'ensemble des passionnés:

http://indians19141915.canalblog.com/


lien sur les croquis du peintre Paul Sarrut qui a si bien dépeint les soldats indiens

http://www.archivespasdecalais.fr/Activites-culturelles/Chroniques-de-la-Grande-Guerre/Albums/Les-soldats-indiens-sous-le-regard-de-Paul-Sarrut



Post de Byng-boys

Je vous présente divers souvenirs provenant de l'armée Indienne: gourde de cavalerie, bugle, bouteille (fournisseur de Calcutta), ainsi qu'une gamelle de cavalerie, boussole et sifflet réglementaire, tous trois trouvés il y a une trentaine d'années lors de curages des fossés aux abords de Neuve-Chapelle.



Différents objets retrouvés dans les fossés.



Ci-dessous la gourde de cavalerie :



A rappeler que l'armée Indienne perdit 4200 hommes tués, blessés ou portés disparus lors de la bataille de Neuve-Chapelle, ce,  du 10 au 13 mars 1915.

Une photo récupérée depuis peu, représentant le captain R.S. Hove entouré d'hommes du 52th Sikhs et du 58th Rifles dans le secteur de Neuve-Chapelle, hiver 14/15.



Je vous présente ces deux photos-cartes, l'une représentant un soldat Hindou, l'autre, des élèments de la cavalerie Indienne ainsi qu'un pot traditionnel religieux: le Kalash.



Ci-dessous, le pot (Kalash) avec ses marquages visibles en caractères Indiens. Ce pot à eau en cuivre était utilisé lors des Pujas (cérémonies religieuses). Traditionnellement on y place de l'eau, du riz, des feuilles de Mangues en signe d'offrandes. Il n'était pas rare encore, il y a plusieurs années de trouver ce genre de pots, souvenirs des cantonnements Indiens, dans les maisons Flamandes et du Bas-Pays, au nord de la France.



Photo d'un soldat Hindou, prise à Anvin (village situé à côtè de St-Pol-Sur-Ternoise) en 1916.



Trois cavaliers issus d'un régiment d'artillerie Indien en cantonnement dans l'Arrageois.



Une photo de cavaliers prise dans la région d'Aire Sur La Lys (St-Omer) en1915. Un interprête Français les accompagnent.








je vous présente cette photo d'un cavalier Indien, prise dans les Flandres Françaises en 1915. Elle est entourée de
quelques reliques en état de fouille, trouvées dans le nord de la France.


Gourde de cavalerie récupérée après curage de fossé (années 80) dans le secteur de Neuve-Chapelle.





Sabre de cavalerie trouvé dans un jardin ( suite à l'installation de canalisations).


Titre d'épaule du 19th Lancers Fane's Horse trouvé dans un des nombreux souterrains de l'Arrageois.

Bonjour Messieurs.
Photographie portant au verso"Carte Postale":

-Gros plans:







Cordialement.
Georges.

Bonjour,

Soldats du Népal posant en groupe avec le fils aîné de Louis et Antoinette Thuillier – Collection Thuillier à Vignacourt

Amicalement

Belle photo

Dommage pas d'éléments de régiment pour faire parler cette photo. Les photos de Vignacourt commencent quand? en 1916 ?

Les 2 divisions d'infanterie de l'Indian Corps avec bataillons de gurkhas rifles ont quitté la France en novembre 1915 pour le front d'Egypte - Palestine. Seules sont restées des brigades de cavalerie mais pas de gurkhas cavaliers il me semble.

Après dans les unités de services ou en main d'oeuvre peut être

un petit Lota ayant appartenu à un soldat indien, je ne peux malheureusement pas déchiffrer l'inscription

a+, Rom

bonsoir,

voici une photo montrant un brancardier Indou au milieux de soldat écossais :







michel

Bonjour à tous, je vous présente une série de photos-cartes issues de la même provenance. Les clichés ont été pris en majorité dans un studio photographique du nord de la France. Ces soldats indiens appartiennent tous au même régiment de cavalerie, le K.G.O. (King George's Own). Le 38th K.G.O. était stationné à Goona lorsque la première guerre mondiale a éclaté en août 1914. Il était composé  de 2 escadrons de Sikhs, 1 escadron de Pathans et 1 escadron de Musalman Rajputs.  Au cours de la Grande Guerre, le 38e K.G.O. faisait partie du 5e (Mhow) Brigade de cavalerie incorporé dans la 2e division de cavalerie indienne. Celle-ci comprenait le 6e (Inniskilling) Dragoons , le 2e Lancers, le 38ème K.G.O., un escadron de "signallers". Le régiment a perdu beaucoup d'hommes dans la Bataille de Cambrai , mais fut noté pour sa bravoure en mettant hors de danger le 2ème Lanciers.  Plus tard en 1918, le 38e King George's Own Central India Horse rejoignit la 10e Cavalry Brigade , de la 4e Cavalry Division pour s'engager dans la Campagne du Sinaï et de la Palestine. Ils retournent en Inde en février 1921.  




2e division de cavalerie indienne (puis 5e division de cavalerie)

La plupart des unités et des quartiers généraux de la division se sont réunis et ont embarqué à Bombay le 18 novembre 1914. Ils naviguent en convoi le lendemain, escorté par le croiseur français « Dupleix ». Un navire, le « City of Lahore », transportant la moitié du 2e Lanciers (Gardner's Horse), a dû revenir en raison de problèmes avec l'équipage. Il rejoint le convoi au moment où il entre dans le canal de Suez le 4 décembre. Arrivé à Aden le 26 novembre, le « Dupleix » confia le devoir d'escorte au navire RIMS « Northbrook », mais revint trois jours plus tard. A la sortie du canal de Suez le 7 décembre, le convoi est escorté par le navire français « Fondre ». A partir du 12 décembre, le convoi appareille sans escorte. La division débarqua à Marseille le 15 décembre 1914 et se rendit par chemin de fer à Orléans.



Un nouveau mouvement est effectué et le quartier général divisionnaire se déploie enfin à Mametz, à six kilomètres d'Aire-sur-la-Lys,  le 1er janvier 1915. Plus tard,
900 hommes de la brigade de cavalerie Mhow, désormais à pied, reprennent une partie des tranchées de première ligne de la 1re division de cavalerie indienne entre
Festubert et Givenchy.







En janvier 1916, chaque brigade de cavalerie forme un régiment de 300 hommes. Ils ont finalement été remplacés en novembre 1916
par des " bataillons de pionniers de la cavalerie indienne " qui n'étaient pas les mêmes que ceux habituellement commandés par une division britannique.
Ces unités étaient fréquemment détachées : par exemple, le bataillon de pionniers de la brigade Ambala
est parti pour la première fois le jour de sa formation, pour travailler sous le XIVe corps.



Les batailles de la Somme 1916

La bataille de Bazentin (14-17 juillet) (le 23 juillet le QG est transféré à Bussy-les-Daours ; le 9 août 1916 un centre de représentation s'ouvre à Rieux; le 7 septembre
tous retournent à Bussy-les-Daours; le 15 septembre 1916 Siège social déménagé à Fricourt)
La bataille de Flers-Courcelette (15-22 septembre) (le 17 septembre le QG revient à Bussy-les-Daours et le 28 septembre il est à Cavillon)



Le 26 novembre 1916, la division est rebaptisée 5e division de cavalerie. Les titres des unités opérant en tant que troupes divisionnaires ont également été renommés
en conséquence : par exemple, la 2e section sanitaire de cavalerie indienne est devenue la 5e section sanitaire (cavalerie). Les titres des brigades de cavalerie n'ont pas
été affectés par ce changement.






La bataille de Cambrai 1917

L'attaque des chars (20-21 novembre) (le 22 novembre, le QG divisionnaire était à Equancourt. Le jour suivant, il recula vers Suzanne. Le 27 novembre, il se déplaça à nouveau, vers Mochy-Lagache)
La contre-attaque allemande (30 novembre – 3 décembre)
31 janvier 1918 : le QG divisionnaire est transféré à Bouvincourt.
17 février 1918 : le QG divisionnaire est transféré à Pont de Metz. Cela s'est avéré être son emplacement définitif en France.

La division a été démantelée en février et mars 1918, la plupart de ses quartiers généraux, quartiers généraux de sous-formation et unités indiennes se déplaçant en Égypte. Le quartier général et certaines unités ont formé une nouvelle 5e division de cavalerie (indienne) qui a joué un rôle clé dans la dernière grande bataille en Syrie (la bataille de Megiddo en septembre 1918).

Dessin réalisé par Marcel Cosson (tiré des croquis divers de l'armée britannique au camp de Rouen)



"another one".






(Sources: The long, long trail/Chris Boulanger)


Byng

Bonjour à tous, je vous présente une photo-carte réalisée dans le jardin d'un photographe noeuxois (Noeux Les Mines, région de Béthune), qui met en scène un "captain" indien (subadar dans l'armée indienne)  appartenant au Royal Army Medical Corps. Après de maintes recherches, j'ai découvert sa spécificité, en l'occurence celle d'être rattaché au "War Office", ce qui lui octroyait la dérogation du port de "gorget patches" (pattes de cols) malgré son grade, normalement réservées aux "staff officers". On peut donc conclure qu'il était présent sur le front en tant qu'inspecteur des services médicaux. Cintré par un "Sam Brown Belt", Il porte l'équipement "dismounted pattern 03, soient un "water bottle carrier" et un "other services haversack" portés en bandoulières. On distingue également  une pochette accrochée le long du sac dont je ne peux définir l'utilisation.



On aperçoit bien sur cet agrandissement le port de "gorget patches".













Byng

une carte sur le thème, montrant quelques ustensiles

deux cartes sur le thème

a+, Rom

Bonjour Romain,

Merci beaucoup pour ces photos fort intéressantes puisqu'elles permettent de visualiser la "chemise " sous différents angles.

J'ai une question :
Comment ce nomme ce que j'appelle "une chemise" ?.........une vareuse ??

Merci beaucoup d'éclairer ma lanterne ( )
Excellente après-midi.
Jean-Luc

PETIT DIABLOTIN a écrit:

Comment ce nomme ce que j'appelle le modèle de "la chemise" ?.........la vareuse qui me semble spécifique aux Troupes Indiennes ?
[/i]

Bonsoir JL, la tunique (pas une chemise) est appelée "Kurta" et le turban, "pagri". Pour les Sikhs par contre, le"kesh" (port des cheveux longs) et le pagri sont obligatoires, il s'agit d'une obligation sacrée en rapport avec la religion.





https://lagrandeguerre.1fr1.net/t132911-38th-king-george-s-own-central-india-horse



Byng

bonjour,

une photo de deux "gamins"

Bonsoir à tous,
Je partage avec vous une rentrée que j'ai faite fin d'année dernière. Vu l'état du tableau, pire que sur la photo et après un temps de reflection assez important, une grosse restauration s'imposait.
Après un séjour chez un professionnel de plusieurs mois, j'ai pu aller le récupérer en septembre . Très content du résultat et du sujet, je vous le présente.

Avant restauration


Après un gros travail


Je pense que l'on peut situer le sujet du tableau un peu après de la bataille de la Marne, lors du repli des troupes allemande.

Cordialement Charpentier.

Bonjour,

Des soldats indiens du 58th Vaughan's Rifles (Frontier Force) dans une tranchée à Fauquissart, en France, portant des masques à gaz en prévision d'une attaque au gaz. Photographie prise par H. D. Girdwood le 9 août 1915. La cagoule Hypo/British Smoke Hood était un masque à gaz britannique introduit en juin 1915 et fabriqué jusqu'en septembre 1915.

Amicalement

Bonjour à tous, une photo-carte réalisée dans le nord de la France, représentant un artilleur français, courant 1915, assis
au milieu de "nurses" indiens. Ce cliché a été effectué en souvenir des quatre mois passés au sein de sa batterie, en voisi-
nage avec des troupes du Commonwealth.



Lorsque la Première Guerre mondiale éclata, les troupes indiennes n’étaient pas censées être employées en Europe car on pensait qu’elles seraient inefficaces contre un ennemi occidental. Cette décision s'est reflétée dans le mauvais niveau d'équipement des troupes, qui n'étaient pas habillées pour la guerre dans le froid du front occidental et recevaient des armes de mauvaise qualité . Cependant, l'absence d'une armée permanente en Grande-Bretagne signifiait que, face à une guerre d'usure, des effectifs seraient nécessaires de toute urgence.  Même si les Dominions étaient prêts à aider, l'Inde était la colonie la mieux à même de fournir un soutien urgent aux forces alliées assiégées grâce à sa grande armée permanente. Ces facteurs, qui ont conduit au déploiement de troupes indiennes en France , ont profondément affecté les dispositions médicales à leur disposition sur le front occidental et en Angleterre.




Bien que cela soit passé sous silence par la couverture médiatique et les récits ultérieurs, jusqu'en décembre 1914, les dispositions médicales pour les troupes indiennes sur le front occidental étaient entachées de confusion. Les hôpitaux généraux envoyés avec la force au front étaient sous-équipés et ne disposaient pas de confort médical en raison de la désorganisation bureaucratique entourant leur déploiement imprévu en Europe. Les troupes souffraient de maladies respiratoires en raison des mauvais vêtements dans lesquels elles avaient été envoyées, de sorte que 30 pour cent des soldats indiens arrivés au cours de l'hiver 1914-1915 furent finalement déclarés inaptes au service. Les soldats gravement malades ont été renvoyés en Inde et, bien qu'au départ, les soldats indiens blessés aient eu la possibilité de ne pas retourner au front, il est affirmé qu'avec 47 pour cent des soldats invalidés de retour en Inde, il y a eu un grave problème de pénurie de main d'œuvre. Cela a conduit l’armée indienne à renforcer l'efficacité médicale militaire qui exigeait que tous les soldats récupérés retournent au front.


(Source: Health and Medicine India by Samiksha Sehrawat)








Byng

Bonjour,

Photo 1:IWM Q 824 ; « Le 20th Deccan Horse, faisant partie de la 2nd Indian Cavalry Division, à Carnoy Valley peu avant leur attaque infructueuse à High Wood le soir du 14 juillet. Avec les 7th Dragoon Guards, ils ont subi 102 victimes et perdu 130 chevaux. "

Photo 2: rare photo de presse à Bazentin le grand, montrant les cavaliers après leurs actions.
14 juillet 1916 - milieu de matinée
Bois haut

Avec les Allemands qui fuient en désordre vers High Wood on dirait que leur ligne, située dans le fossé entre Bazentin Le Grand et Longueval, s'est effondrée. Les patrouilles ont rapporté que le bois est vide, sans un allemand en vue !
C'est le moment de l'exploitation de la cavalerie.

Mais maintenant toutes les fautes et les erreurs qui affligent une armée se concrétisent. Mauvaises communications, ordres mal cités, entraînent des retards importants dans la mise en avant de la cavalerie. Finalement, le 20th Deccan Horse et la 7th Dragoon Guards sont déployés (de la 9th Brigade 2nd Indian Cavalry Division) et ils chargent sur le terrain ouvert. Il y a peu de tranchées, pas de fil barbelé. Les éléments de la 3e division des Gardes allemandes sont acheminés, à l'extrémité pointue d'une lance. L'artillerie lourde allemande a été retirée dans un funk, et leurs canons de campagne ne peuvent pas cibler des cibles aussi rapides. La cavalerie tue 6 et capture 32 Allemands pour le coût de 7 tués 45 blessés, 12 chevaux tués et 52 blessés, principalement après que le régiment eut débarqué pour tenir le terrain capturé.

Ils sont retirés le lendemain au village de Bazentin le Petit, après avoir fait office d'infanterie démontée. (L'accusation est mentionnée favorablement dans les dépêches de Haig et reçoit beaucoup de reportages de la presse britannique, impatiente d'avoir des nouvelles de succès).

Deux bataillons d'infanterie sont poussés vers l'avant et ils entrent dans High Wood et creusent. Le GHQ n'est pas informé de ce succès et peu de réserves supplémentaires ont été envoyées. À ce stade, la ligne de front allemande est encore grande ouverte. Mais rien de plus n'est fait. L'historien Peter Barton a fait remarquer que si une poussée majeure s'était produite à ce moment-là, le front allemand aurait pu s'effondrer provoquant un retrait général. En 24 heures, les Allemands parviennent à combler le vide qui s'était ouvert dans leurs lignes.
Une opportunité perdue !

(Un mot sur les pertes de la cavalerie ce jour. La page Web "Long, Long Trail cite 102 victimes et environ 130 chevaux, une autre source 74 hommes et 110 chevaux. Wiki dit que pendant la charge dans le champ de maïs, « huit cavaleries ont été tuées, environ 100 blessés et 130 chevaux ont été tués ou blessés ». Le Studio 88 dit sur son blog détaillé : « Quant aux pertes subies par la cavalerie, huit hommes ont été tués et une centaine de blessés. Le nombre de victimes parmi les chevaux était plus élevé ; environ cinquante ont perdu la vie et une centaine d'autres ont été blessés. J'ai lu dans un éditorial respecté en 2016 que le Deccan Horse ce jour-là a été "décimé", ce qui n'est tout simplement pas vrai Ma source est les chiffres officiels de toute l'armée sur le front occidental en ce jour de 1916. Il s'agit de 4 hommes tués au combat du 20 Deccan Horse et de 3 hommes des 7 Dragoon Guards. )

Amicalement

post de Byng Boys

je vous présente cette photo originale dans les Flandres Françaises, de prisonniers Hindous, sous bonne garde. Malheureusement, celle-ci n'est pas datée. (brodie + maque SBR, la photo date certainement de 1918)




çà serait donc des hindous des divisions de cavalerie indiennes ou services/intendance puisque les divisions d'infanterie de l'Indian Corps ont quitté le front ouest en novembre 1915

posts de Byng Boys

je vous présente ces deux clichés (6x10) plutôt rares, effectués par un officier Français (32eme Dragons), représentant
une division de cavalerie Indienne en bivouac lors de l'offensive de juillet 1916 dans la Somme.




Cliché pris dans un quartier d'Amiens.


Enveloppe réglementaire pour le courrier des troupes Indiennes.

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je vous présente une photo-carte (en mauvais état), représentant le private J. Harrison du R.A.M.C., entouré de deux Indiens Sikhs, quelque part dans le nord de la France.

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je vous présente cette photo studio d'un stretcher bearer Canadien en compagnie d'un soldat Indien (Sikh), prise à Mers-Les-Bains (Somme) en 1916.




Le Canadien porte encore la tunique à 7 boutons, col droit (pattern 13).

Monoculaire daté 1908 et marquage réglementaire indien (collec. clubberlang)

post de killer2lamor

photo de cavaliers hindous non localisée ni datée:

post de adjudant1

quelques photo-cartes sur des soldats des Indes. Malheureusement pas d'indications sur le lieu ou les unités.