sapper trenberth new zealand engineers

bonjour
je vous présente cette plaque "souvenir" de george frederick trenberth , celle ci donne les informations de son matricule et nom d'un coté et sur l'autre face le moment présent de sa participation a la réalisation des souterrains d'arras
George trenberth fait parti des quelques 600 neo zelandais qui ont oeuvré a ceux ci




Depuis le Moyen-Age, de nombreuses galeries sont creusées sous la ville afin d’extraire des blocs de calcaire pour permettre la construction de bâtiments, de faire des murailles ou d'embellir les monuments. Sous les quartiers de Ronville et de Saint-Sauveur, les carrières, exploitées jusqu'au XVIIIème siècle, deviennent de véritables cathédrales souterraines qui s'enfoncent à plus de 20 mètres de profondeur, soutenues par d'énormes piliers naturels.

L’Etat major propose un plan ambitieux et étonnant. Pour cela, de courageux tunneliers Néo-Zélandais sont appelés en renfort. En 1916, la New Zealand Tunnelling Company  arrive à Arras, pour relier le réseau de caves, déjà existant sous la ville, en construisant de nouveaux tunnels, pour que les soldats puissent faire surface en no man’s land, et ainsi parvenir aux tranchées ennemies.

george trenberth est né le 5 janvier 1886 a wallaroo mine
mineur a waihi , il embarque pour la france le 18 decembre 1915
suite au prochain numero .......

Bonjour Fablou,

Très bel objet auquel je suis très sensible..Je suis passionné par cette histoire.

J'espère que tu ne m'en voudras pas de polluer ton post avec ces photos de cap badges en complément
N.Z. tunnellers grand modèle,
N.Z. Pioneer Battalion (Maori)

Bonne fraîche journée.

Quaren'tro

Bonsoir Fab, une belle acquisition que j'ai pu tenir entre les mains, plaisant à voir dans le cadre d'un post   . Arras, NZ et tunneller ça me parle   , j'ai donc jeté un coup d'œil rapidement ce soir concernant l'historique de ce pauvre "miner" (j'espère ne pas t'avoir coupé l'herbe sous le pied ) qui est décédé de ses blessures reçues en Belgique le 13 janvier 1918. Il repose au cimetière d'Agnez-Les-Duisans (à côté d'Arras), voir le courrier du service des sépultures.


















Byng

Fablou et Byng.

JP

bonsoir
merci a vous deux pour vos participations
effectivement son dossier été dans le prochain post , je poursuis avec les photos de sa tombe au cimetiere d'agnez les duisans non loin de chez moi
il a certainement été soigné dans l'hopital qui se trouvé juste en face de celui ci et est malheureusement décédé le 13th janvier 1918


Chose étonnante une autre plaque , celle ci provenant d'un cantonnement a proximité fut trouvé il y a quelque années .
il s'agit de malcolm stewart mckenzie 4/1375 ayant survecut au conflit et décédé en 1933
celle ci est etonnamment sur la meme configuration que celle de george trenberth
on t'elle été gravé en meme temps ? ces hommes ceux sont t'ils connus ?
Deux plaques que des milliers de kilometres  séparés

Bonjour,

Superbe post , voici une photo colorisée

Amicalement

Les soldats de la Nouvelle-Zélande mangent un repas de midi près de la ligne de front. L ' un des groupes se traduit par un magazine allemand trouvé dans une mare-réservoir.

(Peut-être le 3 e bataillon de la brigade de fusiliers NZ)

Photo prise le 20 août 1918 par Henry Armytage Sanders.

Bonjour,

31 octobre 1918

Deux soldats néo-zélandais avec une mitrailleuse allemande Maxim MG08/ 15 qui a encore sa ceinture de munitions. Les soldats utilisent un casque allemand et un entonnoir pour remplir le refroidisseur d'eau de l'arme. Une partie d'une autre mitrailleuse apparaît en bas à gauche. Sapignies, France, (environ 4 kms NNE de Bapaume).

Amicalement

Bonsoir à tous,
Merci pour ces photos .
Cordialement.
Jean-luc

Bonjour,

2 novembre 1918

Des Néo-Zélandais à Pont-a-Pierres, Beaudignies en France, déplaçant des soldats allemands blessés sur des brancards. Les Allemands avaient été descendus sur un chariot de ferme de la première ligne.

Le 24 octobre, la position de Beaudignie a été sécurisée et les régiments néo-zélandais d'Otago et de Canterbury ont été soulagés par des bataillons de la brigade de fusiliers. Beaudignies est devenu le camp de base pour les Néo-Zélandais. Les différents quartiers généraux des régiments ont été installés dans les fermes du village ; L ' hôpital pour les premiers secours était à Pont-à-Pierres, où il a également concentré les nombreux prisonniers allemands. Le village a également vu un bivouac du régiment des Maoris qui vient de reconstruire un pont au-dessus de la St. George.

Pendant plus d'une semaine, jusqu'au 4 novembre, des préparatifs ont été faits pour amener l'artillerie de campagne néo-zélandaise dans le plus grand secret à la périphérie de Quesnoy. L ' activité normale a été maintenue (beaucoup de raids) mais les munitions ont été acheminées à la tombée de la nuit. Le village en première ligne a été bombardé à plusieurs reprises par l'ennemi.

Le matin du 4 novembre 1918, les bataillons se sont engagés dans la bataille de Quesnoy et ont quitté Beaudignies. Le 1 er et 3 e Bataillon (à l'appui) de la brigade de fusiliers laissée par la route à la sortie du village pour contourner le sud-est du Quesnoy. L ' artillerie de campagne néo-zélandaise a d'abord été installée dans les champs à la sortie de Beaudignies. (gentiment traduit pour la page par Toussaint Bonavita)

Amicalement

Bonjour,

Les cuisiniers de la Nouvelle-Zélande préparent un repas pour les troupes dans les tranchées, tandis que quelques soldats apparemment du 4 e bataillon, brigade de fusiliers, assistance, Beaudignies, France, 29 octobre 1918.

La libération de Beaudignies, et la ville fortifiée voisine du Quesnoy le 4 novembre, ont une importance particulière dans l'histoire militaire de la Nouvelle-Zélande. Ce n'est pas simplement parce que c'était la dernière action majeure des Néo-Zélandais dans la Grande Guerre - l'armistice a suivi une semaine plus tard - mais aussi en raison de la façon particulière dont cette dernière ville a été capturée.

Lorsque la division de la Nouvelle-Zélande a attaqué le 4 novembre, ses unités ont rapidement passé le Quesnoy et ont poussé plus loin à l'est sur ce qui devait être la journée la plus réussie de la campagne des Néo-Zélandais de toute la campagne sur le front de l'ouest. Il a avancé 10 kilomètres et capturé 2000 Allemands et 60 canons de terrain. L ' attaque a coûté la vie à environ 90 soldats néo-zélandais - pratiquement le dernier des 12,483 qui sont tombés sur le front de l'ouest entre 1916 et 1918.

En 2000, la ville voisine de Beaudignies a renommé sa place du village "Place du Colonel Blyth" en l'honneur de l'un de ses libérateurs, L.M. ' Curly ' Blyth, un jeune subalterne de la 3 e Brigade de Nouvelle-Zélande (Rifle), qui était parmi les troupes d'attaque.

Au moment de sa mort le 10 octobre 2001, à l'âge de 105 ans, le lieutenant-colonel Blyth était l'un des deux derniers vétérans de la Force expéditionnaire néo-zélandaise. Sa longévité lui a donné une importance particulière en tant que symbole de la libération de la Nouvelle-Zélande de la région du Quesnoy.

Amicalement

Bonjour Kougar et tous les Amis

Quel post intéressant sur ces braves soldats de Nouvelle Zélande venus de si loin pour notre Liberté.

Merci pour ces magnifiques photos colorisés et de ses récits que l'on dévore sans se lasser !

Amitiés à tous, bonne journée et bonne semaine !

JPaul62

Bonjour à tous ,
Post super interessant ,comme beaucoup d'autres ,et qui permets d'en apprendre davantage.
Merci à vous tous.
Cordialement.
Jean-luc

Bonjour,

Un soldat néo-zélandais subit une extraction dentaire à l'hôpital de la Nouvelle-Zélande à Nielles-lès-Bléquin, en France, pendant la Première Guerre mondiale. Novembre 1917.

Au début de la guerre, entre un quart et un tiers des recrues ont été rejetées pour le service en raison de défauts dentaires.

L ' Association dentaire néo-zélandaise, qui a eu l'occasion d'élever son profil, a relevé le défi de traiter ces hommes et de contribuer à l'effort de guerre. Ils ont fait pression sur la Force de défense pour créer le tout premier corps dentaire en novembre 1915, dans le but de faire en sorte que chaque soldat du Corps expéditionnaire soit apte au service. Ce n'était pas un exploit facile. Les dentistes ont inspecté les dents des soldats potentiels dans les camps de mobilisation de la Nouvelle-Zélande et ont accompagné des troupes lorsqu'elles ont été mobilisées à l'étranger.

Si la politique de l'Armée de terre était d'envoyer un renfort d'environ deux mille hommes en santé chaque mois, les travaux du Corps dentaire néo-zélandais (NZDC) ne devaient pas être sous-estimés. Entre 1915 et 1918, ils ont effectué 221,214 opérations de remplissage et 98,817 extractions de dents.

Les NZDC ont gagné une réputation de mobilité et d'efficacité. Un hôpital dentaire a été mis en place à seulement 5 kilomètres de la ligne de front sur la Somme en septembre 1916. Des " exercices de brosse à dents morale " aux camps pour les plombages, les extractions et le traitement de la maladie des gencives, " bouche de tranchée " , le corps dentaire est considéré comme ayant sauvé l'État environ 19,000 £ par an.

Amicalement

Bonsoir kougar ,

Merci beaucoup pour toutes ces photos accompagnées de commentaires dont je ne me lasse pas.

Cordialement à vous.
Jean-luc
...ou une tisane à cette heure-ci .