L'infirmière française
Ce post regroupe les interventions des membres au sujet des infirmières françaises en 14-18.
on ne peut dissocier le service de santé des armées des différentes sociétés de la croix rouge , l'ensemble travaillant de concert
Post de bourru14petite évocation
Généralités, témoignage et autres informations sur les infirmières : On peut distinguer 3 grandes organisations d'infirmières :- La Société de Secours aux Bléssés Militaires : dames issues de l'aristocratie ou roturières enrichies. Elles montrent une haute tenue morale, de l'autorité, préfèrent les bléssés et répugnent un peu aux basses besognes.
- L'Union des Femmes de France : dames cultivées souvent professeur, institutrice ou fonctionnaire. Elles sont un peu pédantes, discutent volontier, dévouées, sans passion.
- Association des Dames de France.
- Infirmières Militaires : beaucoup de sages femmes, anciennes infirmières. Elles font preuve de moins d'autorité, plus de familiariyé et plus faciles à commander.
Il semble, après recherches sur le net, que la Croix Rouge Française n’existe sous cette appellation que depuis 1940, suite à la fusion de 3 sociétés, la société de secours aux blessés militaire (SSBM), l’Association des Dames Françaises (ADF) et l’Union des Femmes de France (UFF).
Voici, parmi beaucoup d’autres, 2 liens relatifs à l’histoire de la CR et à celle de la CRF :
http://www.croix-rouge.fr/La-Croix-Rouge/La-Croix-Rouge-francaise/Historique/Naissance-de-la-Croix-Rouge-francaisehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_DunantLa date de création donnée par le premier lien semble contredite dans le lien suivant dédié au Marquis de Vogué:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Melchior_de_Vog%C3%BC%C3%A9_%281829_-_1916%29notamment, extraite de cet article, la phrase suivante: "Sous son impulsion se regroupèrent les trois sociétés qui formèrent la Croix-Rouge française dont il est président en 1907."
Il semble, cependant, lorsqu'on étudie la liste des présidents de la CRF, que le Marquis de Vogué n'était président que de la SSBM (de 1903 à 1916):
http://fr.wikipedia.org/wiki/Croix-Rouge_fran%C3%A7aiseun monument visible a Chaulnes au dessus de Paris
un Monument à Pierrefond
un lien sur le sujet :
http://saumur-jadis.pagesperso-orange.fr/recit/ch35/r35d11cr.htm______________________________________________________________________________
Post de yaumegui__________________________________________
extrait Tiré des mémoires d'Angeline Baillon
"j'arrive à obtenir des malades, vers la fin de mars, le 26 mars. Nous avons Jean-Baptiste, Worme ; un musulman que l’on appelle Aï-Tamart – Claude – Forestier quelque jours après, Prud’hum, mais se sont des bien malades, ils ont besoin de beaucoup de soins particulier, il y a déjà quelques temps quil était a Abbeville Aïtana a des plaies c’est infecte, et Jean-Baptiste crie toujours, je suis tout le temps près de lui il voye toujours des oiseaux bleu, il n’y a rien qui suit dans ce qu’il dit, il a le cerveau atteint, il délire je le console de mon mieux, il parle de sa mère il dit quil l’aime bien, je l’embrasse je remplace sa mère, il est heureux, sa l’apaise mes paroles le réconforte…
…Cette nuit J.B. a déchiré son édredon, Mlle Lafarge lui a attaché ses mains, il me supplié pour que je lui détache. Je vais leur donner un peu de douceux je me demande un peu partout pour eu… …On va faire opération a prud’hum. Je demande (a y assister) a Mr Lepoutre médecin chef… Blondel doit venir et Bovince aussi. L’on change Jean-Baptiste de côté on la mis derrière la porte, il crie toujours. J’aide Mr Marmuse a lui faire des picures la nuit. Je fais bouillir le linge des malades, je suis heureuse de leur donner mes soins.
Chez Mademoiselle Lonchamp c’est madame Mazarine ? c’est une alsacienne. Il arrive des malades, pas aussi malade que dans le patronage. Il se lève pour manger, il en reste beaucoup, tous les restes reviennent chez moi j’en donne au Leroy qui viennent m’aider a laver…
…J’ai assisté a l’opération de Prud’hum …Au moment de l’opération j’ai passé pinces, lancettes, cuvetes, les plateaux, l’eau stérilisée. Le lendemain matin, j’ai beaucoup de linge a laver… Il faut veillé Prud’homme après son opération… Son opération a bien réusit il est content qu’en je suis pres de lui…Je n’oublie pas Jean-Baptiste, votre fils comme dit Mr Marmuse.
Aïtama souffre toujours beaucoup. Il me réclame souvent… Je fais des petits coussins pour mettre partout dans son lit pour relever ses jambes ses bras enfin un peu partout quelque fois il y en a dix dans son lit car il ne peu pas souffrir rien sur lui tellement il a des plaies.
…Prud’homme n’est pas trop mal je lui fait un lait de poule tout les jours au matin, il est si heureux, il me dit que de bonnes choses madame je n’ai jamais été si bien il fallait que je sois malade pour avoir tant de bonne chose, car je lui fait des crèmes aussi, en même temps pour les autres aussi. Mr Marmuse, Horet, Laire, Lesage font leur petit tour ensemble le soir pour prendre un peu l’air, on me confie les malades on à demandé au médecin chef pour avoir des infirmiers pour passer la nuit ça lui a été accordé donc tous les nuits l’on se remplace a tour de rôle…
Arrivée de nouveaux infirmiers. Avec le printemps, on sort les malades.
…Il nous arrive des infirmier en plus…on les couche au patronage, car tout n’est pas encore bien organisé au grand hôtel… Nous somme en mai il commence a faire un peu meilleur. La marchande de fromage blanc passe j’en achète pour mes malades ils sont bien content. Je leur arrange avec du sucre en poudre cela leurs semble bon. J’en porte chez Mlle Lonchamp car les chambre sont pleines seulement ce sont des malades qui peuvent marcher…
Aïtamar ne va pas mieux, aujourd’hui il fait assez bon, l’on a sortit les malades dans la cour…
…Aïtamar souffre toujours… Jean-Baptiste m’appelle, il se recommande a moi, alors Mr Marmuse me dit d’aller voir votre fils, il vous appelle. Il fait des cris, il embête vraiment les autres, Mr Marmuse dit, il faudrait qu’il soit séparé, car il crie qu’on assassine ; moi je lui propose de le mettre dans la petite chambre près de mon attelier où je repasse, il trouve que ce serai trop d’ennui pour moi…
Aujourd’hui Jean-Baptiste a plus de calme… Claude, sa jambe ne se guerit pas vite, prud’homme ira plus vite que lui pour se remettre…Il y a toujours des malades chez Mlle Lanchamp. Je crois que c’est plutôt des malades convalescents.
Aïtamar va moins bien, il ne sera plus la longtemps…
Aïtamar est mort a 1 heure ½…
…j’ai commencé par défaire tous ses petits coussins, il y en avait bien dix…
On a fait venir un prêtre musulman pour l’enterrement d’Aïtamar, on l’a enterré sans cercueil, le trous était fait de manière qu’il soit assis dedans, on l’a recouvert de feuillages.
Sur le site « Mémoire des Hommes » la fiche du poilu que ma grand-mère a soigné : soldat : AÏTAMER Rabah ben Hocine ben Ahmed, caporal au 2e RTA Régiment de Tirailleurs Algériens, décédé le 7 mai 1915, Hôpital 44 Le Crotoy, suite de blessures de guerre.
Jean-Baptiste va un peu mieux. Warm pas trop mal non plus, Beauvince commence a le faire marcher un peu le matin. L’on continue de faire prendre l’air aux malades dans la cour… J’ai fait une bonne crème aux malades…
Organisation d’un nouvel hôpital au Casino. Les malades du patronage sont transférés au Grand Hôtel, puis au Casino.
Mr Depisier a organisé l’hopital au casino, on vas bientôt installer des infirmier pat la. Mr Lepoutre me donne la permission de m’occuper des malades, je vends toujours un peu de fleurs, j’employ l’argent pour des douceurs pour mes malades…
L’on parle que nos malades vont bientôt partir aux grand hôtel…
C’est aujourd’hui que les malades sont vont a l’hôtel ont les met dans la chambre du côté de la mer. Mr Lepoutre me donne la permission d’aller les voir comme je voulais, j’y vais tout les jours, je leurs porte des biscuits… Ils vont restaient une dizaines de jours, maintenant on va les conduire au Casino.
Installation d’aviateurs au patronage et au Grand Hôtel. Ils mènent un grand tapage dans les chambres. Mlle Longchamp n’est pas d’accord et refuse cette organisation.
Au mois d’août 1915. Mr Lepoutre, a donné le patronage pour faire plaisir au général qui est venu pour mettre coucher des aviateurs, il y en a eu chez Mlle Lanchamp aussi…
J’ai été voir nos malades : Prud’homme etc… quand ils me voient arriver ils sont dans la joie immense. Tous ses aviateurs qui couche au patronage, quel potin, ce n’ai plus la tranquillité des malades, ils démolissent tout ; c’est la vie militaire, ils dressent les lits tout debout avec un homme dedans, ils se joue avec les oreillers, les traversins, a un point qu’ils font sortir les plumes tout ça vole dans la salle, il y en a même un de resté suspendu sur l’entré de la porte car l’on a fait un boudoir en entrant pour que l’air ne viennent pas sur les malades…
Monsieur Clerot a fait sa déposition a Mlle Lonchamp qu’il y avait des aviateurs, elle à répondu qu’elle défendais expressément d’en mettre, que c’était pour des malades qu’elle donné sa maison tout a été expédié d’un seul coup.
A l’automne, les anciens malades partent et sont remplacés par d’autres qui sont installés au Grand Hôtel.
Il y a d’autre malades au casino, il y en a un qu il m’a pris en amitié, il s’appelle Gernigon, je cause volontiers avec lui, il est jardinier et l’on cause fleurs plantes. Nos anciens malades vont partir Prud’homme, Claude, Jean-Baptiste, Warm… … Maintenant il y a des malades partout a l’hôtel, je vais les voir tous. Toutes les fleurs que je vends je les emploies a une petite douceur pour les malades, quand je vais les voir, je leurs donnent, biscuits, cigarettes… Les malades sonts si contents, un rien fait tant plaisir…"______________________________________________________________________________
Post de bourru14Voici un décret interdisant le port de l'insigne de la croix rouge à tout autre personnel autre que ceux des trois sociétés déjà cité plus haut.
A savoir :Société de secours aux blessés militaires.
Union des femmes de France.
Union des dames de France.
Décret du 27 mai 1915LIVRET INDIVIDUEL DES SOCIETES
DE LA CROIX-ROUGE FRANÇAISE
Les trois sociétés de la Croix-Rouge: Société de secours aux blessés, Union des femmes de France, Union des dames françaises, ont ajouté, depuis l'ouverture de la guerre, de très belles et très nobles pages à celles qu'elles avaient précédemment écrites dans l'histoire de l'œuvre admirable qu'elles poursuivent avec un égal dévouement.
Si la commission est unanime à penser qu'il importe, dans l'intérêt des blessés et des malades, d'accueillir plus que par le passé tant de qualités précieuses et de dévouements, elle n'a pas été moins unanime à approuver la pensée qui a dicté la lettre ministérielle du 4 février demandant aux sociétés, dans leur propre intérêt comme dans l'intérêt de la défense nationale, de s'assurer, avec la plus scrupuleuse exactitude, de l'identité de toutes les personnes employées par elles. Des sanctions pourraient être prises à l'égard des administrateurs qui, par suite d'un manque de vigilance, auraient
laissé des personnes suspectes s'introduire dans les formations placées sous leur direction. Aussi bien le ministère de la guerre compte-t-il, pour cette police nécessaire, sur leur patriotisme éclairé.
Le comité central de la Croix-Rouge française, où sont représentées les trois sociétés, a décidé, en conséquence, de procéder immédiatement à la révision de toutes les cartes d'identités des trois sociétés; d'étendre le système des livrets individuels que la Société de secours aux blessés militaires a déjà adopté, mais seulement, jusqu'à présent, pour ses infirmières diplômées; de faire porter aux infirmières des trois sociétés un costume dont les caractères seraient identiques, costume qui serait considéré comme étant la propriété exclusive de la Croix-Rouge et garanti comme tel par l'autorité militaire; d'attribuer à chaque société une marque distinctive qui serait brodée sur une partie
apparente du costume de ses infirmières.
Par contre, le comité central demande, avec beaucoup de raison, à être protégé par l'autorité contre des personnes suspectes vivant, aux termes nommés de la lettre ministérielle, en marge des trois sociétés reconnues et arborant illégalement leurs insignes.
Le comité insiste, en conséquence, pour que les mesures suivantes soient prises :
Ordonner, en vertu de l'article 10 du « décret du 2 mai 1913 », que le costume des infirmières delà Croix- Rouge, dont le modèle sera déposé au ministère de la guerre, aura le caractère d'un uniforme légalement reconnu et que le port en sera interdit à toute femme n'appartenant pas à l'une des sociétés de la Croix-Rouge.
Ordonner que dans les hôpitaux de toute catégorie, où les infirmières de la Croix-Rouge peuvent être appelées à prêter leur concours, concurremment avec des infirmières n'appartenant pas à l'une des trois sociétés, celles-ci portent un costume qui les distingue à première vue, et que, notamment, le port de la coiffe blanche à croix rouge, caractéristique des sociétés de la Croix-Rouge française, leur soit formellement interdit.
Donner enfin des instructions pour que les autorités compétentes poursuivent l'exécution de toutes ces mesures et appliquent exactement les dispositions de la loi du 24 juillet 1913.
' LE MINISTRE DE LA GUERRE; — Vu le décret, du 2 mai 1913 (1), portant règlement
d'administration publique sur le fonctionnement général des sociétés d'assistance aux blessés et malades des armées de terre et de mer, et notamment
l'art. 10; — Vu la proposition des sociétés d'assistance reconnues d'utilité publique ; — Vu l'avis
de la commission supérieure instituée par l'art. 7 du décret susvisé du 2 mai 1913 ; — Arrête :
ART. 1". Les sociétés d'assistance aux blessés établissent, en outre de la carte nominative d'identité prévue par l'art. 9 du décret du 2 mai 1913, un livret individuel et une fiche individuelle pour
chacun des membres du personnel actif, du personnel hospitalier et du personnel administratif,
à l'exclusion des employés subalternes rétribués. Le livret individuel, est remis au sociétaire et la
fiche individuelle est conservée par la société. Les affectations successives du sociétaire sont
inscrites sur les deux documents, ainsi que son passage éventuel d'une société à une autre.
Avant sa délivrance, le livret est obligatoirement transmis au ministre de la guerre (78 direction) pour être authentiqué par un cachet.
'2. Les membres des sociétés d'assistance visés à l'art 1er ne peuvent être employés que par la
société à laquelle ils appartiennent, et avec l'affectation indiquée sur leur livret.
3. Dans le cas de faute grave contre la discipline ou contre l'honneur, le retrait du livret et
de la carte d'identité peut être prononcé par le ministre de la guerre ou l'autorité qu'il aura déléguée,
après avis d'un conseil de discipline, constitué comme il est dit. ci-après. Ce retrait entraîne la
suppression de toute fonction dans l'une ou l'autre société, et l'interdiction du port des insignes.
4. Le conseil de discipline comprend quatre membres : les commissaires militaires dès trois
sociétés d'assistance," et le commissaire civil dé la société intéressée. :
La présidence du conseil de discipline est dévolue au plus ancien des commissaires militaires.
Le commissaire militaire le moins ancien de grade remplit les fonctions de rapporteur.
Le conseil de discipline se réunit au ministère de la guerre, sur la convocation du président de la commission supérieure consultative, soit en vertu d'un ordre du ministre, soit à la requête de la société.
Après l'audition du rapport et des explications de la personne incriminée ou de son représentant, à qui le président sera tenu de faire connaître en séance tous les griefs contenus au dossier, le conseil procède à un vote à scrutin ouvert sur le maintien ou le retrait du livret et de la carte
d'identité.
Le président vote le dernier, et, en cas de partage des voix, la sienne est prépondérante.
■t Le président du conseil de discipline établit si le procès-verbal de la séance, en y mentionnant tous
les détails jugés utiles pour l'entière connaissance des faits.,
II adresse l'ensemble du dossier, les résultat du vote et la proposition qui en découle au ministre de la guerre ou à son délégué, qui prononce s'il y a lieu, le retrait du livret et de la carte d'identité du sociétaire intéressé. -;
5. Les noms des membres auxquels ont été retirés le livret et la carte d'identité sont portés par
bulletin à la connaissance de chaque société', et signalés au ministre, qui en fait tenir un contrôle
à l'administration centrale.
Source : Bibliothèque nationale de France
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Pendant la grande guerre n'apparaissaient sur les tenues d'infirmière que les sigles des trois sociétés S.S.B.M. A.D.F. ET U.F.F.
Ce n'est que le 7 août 1940 que fusionnent les trois sociétés préexistantes pour fonder la Croix-Rouge française.
Utilisé depuis longtemps, le terme Croix rouge française n'est officiel qu'à cette date.
Toutefois les sigle SBM ADF ET UFF figurent toujours sur les tenues.
Les tenues d'infirmières n'on guère changées depuis la fin du premier conflit, si ce n'est la longueur des jupes arrivant sous le genoux en 1940.
Pour la SBM
Pas de galon :
aide-infirmière
1 galon :
infirmière diplômée du 1r degré
2 Galons
infirmière diplômée du 2e degré
les 3 galons rouge au dessus du sigle indique que cette infirmière a effectuée 22 mois d'études sanctionnées par un examen
En service l'infirmière est vêtue entièrement de blanc ; parfois avec une blouse bleu mais toujours avec le tablier blanc suivant le service quelle effectuent.
La cape et le voile bleu font partie de la tenue de sortie.
Le brassard rouge avec un carré blanc et la croix rouge sont le signe distinctif d'une infirmière major.
Un petit rajout concernant le port des insignes pour les différentes sociétés.
Nous sommes là en pleine guerre.
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Post de bothrops atroxLa cocarde portée sur le bandeau, en gros au dessus de l'oreille gauche, est propre aux infirmières laïques des hôpitaux militaires dont le corps est créé en 1909 :
Photos d'époque :Post de bourru14__________________________________________
La deuxième se situe à Cherbourg, hôpital civil.
La dernière parle d'elle même.__________________________________________
deux autres cartes photos représentant la même personne, nominatives au dos. Celle de gauche porte au dos la date du 1septembre 1915.
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Voici un groupe d'infirmière prodiguant des soins à un blessé, elles porte le voile à croix rouge :
Elles procèdent à l’irrigation d'une blessure grâce à ce type d'instrument :______________________________________________________________________________
Post de VachequiritPhoto infirmières et deux spahis______________________________________________________________________________
Post de dieuletJe me pose ces questions à savoir : qui portait quoi , en l’occurrence la croix rouge.
M'étant fait prêter un album photo par une descendante de ces braves , il apparaît que seules les infirmières œuvrant pour le compte d'une société reconnue par la Croix Rouge avait le droit au port de la Croix rouge. Cette infirmière présente dans une annexe de l' Hopital Complémentaire n° 33, au château de "Fryleuse" à VERNEUIL-SUR-AVRE, nous a laissé quelques photos. Sur les photos aucun signe distinctif n'apparaît sur l'une ou l'autre des dames soignant les blessés. J'ai mis une photo, malheureusement pas nette pour illustrer mes propos. Je sais que ces infirmières du château de "Fryleuse" soignaient nos blessés pour une oeuvre caritative d'initiative privée .
Mannequins sur ce thème :Post de Le gaulois______________________________________________________________________________
Post de AlainKVoici un mannequin en cours de réalisation (bras et jambes à finaliser) constitué d'un ensemble trouvé à la déchetterie en fin d'année 2009 avec des pièces de tissus pour faire des écharpes. J______________________________________________________________________________
Post de bourru14Notre médecin fraichement rentré d'une tournée d'inspection en première ligne se repose un peu avant d'enfiler sa blouse blanche une infirmière le questionne et en profite pour poser devant le photographe.______________________________________________________________________________
Post de VachequiritVoici un petit buste tout simple d'infirmière. Le chemisier est civil. Elle devrait porter une coiffe blanche et non de sortie.______________________________________________________________________________
Post de Adie02deux tenues infirmière UFF de 14/18 et 1920
Première tenue, il manque le tablier :
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Deuxième tenue sortant d'un lot d'une femme ayant été chez les UFF en 1920 et réutilisé en 1939 à la CRF :
Autres objets sur le thème:Post de bourru14Voici une carte avec un cachet bien particulier
Une partie du contenu :
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Voici un petit document qui prouve bien que les associations étaient sous l'égide de la croix rouge tout en étant indépendante l'une de l'autre ou des autres :
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Je reviens sur les tenues vestimentaires. Il me semble qu'il a eu polémique au sujet du tablier porté par ces dernières...
En fait, il nous serait difficile de savoir quel est le bon type, elles ont tout portées, le tablier à plastron en pointe maintenu par une épingle de sureté; le plastron de forme plus ou moins rectangulaire maintenu par deux épingles de sureté, pour être précis une en haut de chaque côté et enfin divers tabliers à bretelles, bretelles plus ou moins larges
Voici quelques photographies tirées du journal "Le miroir" du 21 mars 1915 :
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quelques revues en hommage à la croix rouge :
Un intéressant document en encart dans cette revue :
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Une autre revue :
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lithographie intéressante ______________________________________________________________________________
Post de titiune carte postale______________________________________________________________________________
Post de Adminvoici un petit fascicule que certaines infirmières membres des associations patriotiques chrétiennes de bourrage de crane distribuaient aux blessés...______________________________________________________________________________
Post de ARMANDvoici ma petite contribution sur ce sujet: Affiche de 1917, illustrateur: Roll______________________________________________________________________________
Post de CoyoteCarmin67Livret du Comité de Commercy de " la Société de Secours aux Blessés Militaires " ______________________________________________________________________________
Post de LadosseCarte d'identité d'une infirmière, une attestation de présence (1917) et des photographies.