Musée de Meaux

La troisiéme photo sans hésitation !!!!

Voilà un bel exemple,"LE MUSÉE DE L'EMPERI" ça c'est de la super présentation et là mon œil se porte vers les détails des tenues et du matériel.





le rampant de nous avoir rappelé ce beau musée

Bourru14

Re-

d autres photos de l'Empéri, ça de la gueule quand même !





thierry

bonjour

Merci pour les photos . Il faut aller le voir

d'accord avec S. les mannequins toujours le même souci mais heureusement loin de ceux de "ex-novion" qui à l'époque ont fait couler de l'encre .

tiens notre "titus" toujours en première ligne...

merci encore

a+ C.08

Riquet a écrit:

Les visage blancs sont fait exprès !
Un mannequin peint ne remplacera jamais un homme, même les statues du musée Grévin sont figées et inhumaines. Les visages blancs accentuent la présentation et la visibilité du matériel, ils donnent à la silhouette un aspect fantomatique, comme revenu du passé, bien plus marquant... et en plus de cela, les gens peuvent transposer les visages des aïeux qu'ils connaissent sur les photos de famille et s'imaginer très facilement à leur côtés.

+1

mes mannequins n ont pas de visage blanc mais couleur vaguement chair, mais une expression si neutre que c est tout comme

les bustes du musee de Vienne/Autriche ont un visage gris clair et pas de bras, et ce sont ceux la qui m avaient convaincu d aller vers la plus grande neuutralite possible pour les presentations (mes 7 bustes ou mannequins n ont pas de bras non plus)

bonne collec

Laurent

Bonjour.

Les mannequins, c'est une histoire de goût. Les têtes ont été réalisées à la suite d'un casting. Donc toutes les têtes représentent une personne existante. Il y a même celle de M. Verney
L'erreur, dans le domaine qui m'est cher, la plus criante, est la musette porte-grenade sur le tireur VB.
Il y en a d'autres, mais il faut avoir eu l'oeil dessus avant la mise en vitrine.

Musée qui vaut le détour, voir le déplacement.

solcarlus.

PS: Même chez les "spécialistes" les légendes ont la vie dure

Bonjour à tous,

J'ai eu du mal à retrouver l'article de journal, mais c'est bon. Vous parlez des mannequins, et bien voici d'où ils viennent. Il y a un bout de l'Aveyron dans ce musée

J'ignorai qu'il existait ce genre d'entreprise dans mon département, et d'après ce que je vois elle est intervenue sur d'autres musées.



http://www.atelier-adess.fr/

Florian

Bonjour,
Moi aussi, comme d'autres, je trouve que les mannequins "à la papa" ou style Grévin ne servent en rien ou plutot n'ajoutent rien à la présentation d'un uniforme. Un mannequin ou un buste est avant tout un support muséographique. Or, ceux-ci se définissent par leur but : mettre en valeur une pièce - en l'occurence un uniforme - tout en étant discret et donc quasiment invisible pour le visiteur. Si le support est trop présent, il s'impose plus que l'uniforme qu'il est censé mettre en valeur et brouille la vision du visiteur qui n'est que rarement un spécialiste. Il en est d'ailleurs de même pour les vitrines ou les socles. C'est l'uniforme parce que c'est un morceau de notre patrimoine qui est intéressant de montrer au public. Tenter de recréer par quelques artifices que ce soit l'image d'un poilu est un geste vain. des poilus, il n'y en a plus et on ne peut pas remonter le temps en revanche les pièces uniformologiques existent et doivent être préservées car elles renvoient justement à ces disparus, à leur vie quotidienne durant la guerre.
Il ne faut pas croire que les mannequins du musée de Meaux n'aient rien couté, au contraire, ils ont du être hors de prix puisque chaque visage est unique et chaque main a été façonné de façon précise. Personnellement, je préfère un mannequinage encore plus épuré c'est à dire sans tête ni main car je pense que dans ces conditions l'uniforme est bien mis en valeur.
Pensons au grand public qui n'est pas spécialistes des diverses modèles de capote Poiret, ni des variantes d'insignes de casque Adrian comme nous le sommes. Sans être trop dogmatique sur ce point, il faut montrer aux visiteurs avant tout des uniformes, la manière de les porter à l'époque de façon réglementaire ou non d'ailleurs, faire découvrir les différentes couleurs et uniformes (métro, colo, armée d'afrique, tenues de combat, de tradition, etc) d'une armée française qui est loin d'avoir l'allure standardisée des armées actuelles.
Bon je m'arrête là pour aujourd'hui, chacun est évidemment libre de mettre en valeur sa collection comme il l'entend, je passe aussi sur les conditions de conservation des uniformes fragiles, qui ont un siècle ou plus, sur mannequins, c'est un autre sujet...

moi c est pareil , le style revenant , c est etrange je trouve!
autant n exposer desuniformes sur des supports neutres , laon rend sa dimension humaine a l ensemble tout en deshumanisant le support!
je trouve que ne rend pas honneur auw combattants ainsi ,!
yann

bonjour à tous, *

les goûts et les couleurs... à chacun de voir. Par contre, à mon avis, lorsqu'on monte un musée, la difficulté est de pouvoir trouver des mannequins en position adéquate, et pour monsieur VERNEY et le musée, en très grand nombre et dans un court laps de temps.

Une fois l'origine des mannequins connue, je ne suis pas sur, que les responsables se soient adressés à l'atelier ADESS, par mesure d'économie. Pascal JOSSE est un artiste, qui travaille pour le cinéma, et qui fait des mannequins sur mesure ; et personnalisés, pièce unique ou presque à chaque fois. Sans compter le prix de l'infrastructure, du terrain etc..., je ne voudrais pas payer le cout du défilé de mannequin du musée de MEAU, d'autant plus que leurs habits, de bonne facture... valent les prix de la haute couture...
Encore un grand merci, à ces messieurs, qui arrivent à monter des musées privés, à la force du poignet, et aux élus qui embrayent derrière pour en donner l'accès au public.

CLOVIS 57