Les prisonniers du camp de guerre de Quedlinburg

Bonjour,

En trouvant dans les fiches de registres matricules de mes ancêtres l'un d'entre eux, zouave de 2e classe au 2è régiment bis de zouaves, qui a été fait prisonnier pendant les combats du 17 septembre 1914 près de Soisson et interné au camp de Quedlinburg, je suis tombé sur ce site :

http://www.camp-de-quedlinburg.fr/index.html

Un travail remarquable sur ce camp qui permet d'avoir une liste non exhaustive des prisonniers, de l'organisation du camp et même de la répartition des baraques.

Si vous avez un ancêtre qui a été fait prisonnier de guerre dans ce camp et qui n'est pas répertorié, vous pouvez adresser un mail au tenant du site pour lui permettre de mette à jour les informations.

Bonjour,

très intéressant : merci pour le lien.
Cordialement.

Bonjour,
Voici ce que j'ai publié sur ce camp:

QUEDLINBURG

Camp situé à 5 kilomètres de la ville. 20 000 soldats et 1200 civils principalement des hommes (prêtres et médecins).
Kommandant : Oberst von Geldern Crispendorf.
Lazarett : afin d’éviter les épidémies et les dysenteries, un prisonnier, était désigné « Latrinenwache » ou garde aux latrines. Posté devant les lieux d’aisances, il veillait à ce que tous les détenus qui sortaient de là, se lavent les mains !
Journal : Le Tuyau.
Anecdotes : les civils étaient soumis à la punition du poteau, ce qui était très rare. Les gardiens permettaient certains jours aux prisonniers de rire et de chanter !
Le travail en Kommando s’effectuait surtout dans les nombreuses mines de la région : mines de charbon, de sel, de lignite et de potasse. Monument aux morts et document sur l’étude de la stèle.
Livre :
Meunier M : Un camp de représailles FRK III, 1919.

Cordialement. J. Claude

Bonsoir,

Quedlinburg 

Une superbe ville de Saxe-Anhaltine, non détruite en 39-45. Un vieux centre ville à maisons à colombages répertorié sur la liste de l´UNESCO. Je recommande une visite!!! (tout comme Heildelberg).

Rheinbaben