En l’honneur du Corporal Thomas Arthur FRICKER du Royal Field Artillery

Bonjour,

19e brigade, 13 livres en action, secteur Armentieres.
7 décembre 1914.

« L'homme 3ème à partir de la gauche chronomètre le fuselage (le temps du vol avant que l'obus n'explose - selon la distance des tranchées ennemies) cela s'appelle un fuselage mécanique dans le temps ou parfois appelé un fusel VT (temps variable) »

(Source photo - IWM Q 51549)

Amicalement

Bonjour,

IWM Q 8615 ; « Première bataille de Bapaume (Opération Michael). Colonne d'infanterie et d'artillerie britanniques en mouvement près de La Boisselle, 25 mars 1918. " (2e Lt David McLellan).

Amicalement

Bonjour,
Dimanche 25 juin 1916 jour "V"
Journée beaucoup plus lumineuse et chaude.

C'est le deuxième jour de la bataille. La coupe de fil continue et le travail sur l'artillerie ennemie augmente. Les pilotes du RFC rapportent d'importantes explosions dans les décharges ennemies à Longueval, Montauban, Mametz Wood et Pozieres. 102 batteries hostiles sont identifiées, à mesure que la réponse allemande augmente. Cette nuit-là, des équipes de raid dans les tranchées sont entreprises. Les 30e et 18e divisions à Montauban signalent que les tranchées ennemies sont gravement endommagées et très légèrement tenues. A La Boisselle et Ovillers, 34e et 8e divisions les trouvent pleins d'hommes, en alerte.

Les Allemands rapportent qu'avec le ciel dégagé, l'air est plein d'avions de guetteurs RFC et de ballons d'observation. Tout mouvement dans les zones arrière risque de faire tomber un barrage rapide et mortel. Alors que les bombardements se calment, leur infanterie se réfugie dans les profondeurs creusées. La grêle des obus au-dessus du sol détruisent leurs défenses soigneusement préparées et souffle leurs barbelés. Pourtant, ces hommes se sentent en sécurité. À côté d'eux se trouvent des fusils huilés, des mitrailleuses et des boîtes de munitions.

Crédit photo ; IWM Q735, recharge de 18 livres, à la décharge de la 29 division au nord d'Acheux, (probablement prise le 27 juin).

Amicalement

Bonjour,

Quelques photos vu sur la toile.
Sur la première photo je pense reconnaitre de gros obus de 9,2 In MKI, si c’est bien celui ci, sa portée n’excède pas 10kms pour une vitesse initiale de 389m/s. Les charges propulsives sont livrés en gargousse séparées afin de régler la portée , la charge totale est de 10 livres de cordite. Ces projectiles sont trapus, leurs masse de 290 livres soit (131,5 kgs) dont 34 livres (15,5 kgs) d’explosifs.

Amicalement

kougar a écrit:

bonsoir,

celui ci est un 15 inch howitzer utilisé par les Royal Marine Artillery.

voici un cap badge de cette unité (provenance Artois)



Obusier n°1
Embarqué à Southampton le 15 février 1915. Se rendit d'abord à Saint-Omer mais monta ensuite le canon n°1 à Locre. A ouvert le feu pour la première fois le 6 mars 1915. Plus tard, il s'est installé au Hamel, sur la route du Touret, au nord-est de Béthune. Participe aux batailles d'Aubers et de Festubert en mai 1915 et aux actions de soutien à la bataille de Loos en septembre 1915. Déménage à La Clytte (aujourd'hui de Klijte) en février 1916 de là près de Dickebusch (Dikkebus). Tiré sur Wytschaete. a déménagé à Mazingarbe et est entré en action le 9 mai 1916. Du 9 au 12 juin, canon monté près de Mailly-Maillet pour soutenir la prochaine offensive de la Somme. Déménagé à Martinsart et entré en action le 15 juillet 1916. Soutenu l'attaque réussie de Thiepval en septembre (voir « héritage » ci-dessous). Déménagé à Engwlbelmer et entré en action le 7 octobre 1916. Resté jusqu'au 18 février 1917 lorsqu'il fut transféré au Bois de la Haie. Tiré à l'appui d'une attaque réussie sur la crête de Vimy en avril 1917. Déménagé à Souchez le 30 avril et aurait détruit l'église d'Avion, utilisée comme poste d'observation ennemi. En août 1917, il tira pour soutenir l'attaque réussie sur la colline 70. Déménagé à Angres pour des réparations plus tard dans le mois. Déménagé et entré en action à Gouzeaucourt le 14 novembre 1917 et tiré lors de la bataille de Cambrai. La contre-attaque allemande a forcé l'équipe d'artillerie à commencer à désarmer et à abandonner l'arme, mais une contre-attaque britannique a rétabli la situation et elle est revenue en action. Les efforts précipités pour démonter le canon et se retirer face à l'offensive ennemie du 21 mars 1918 se heurtèrent à des difficultés de transport qui finirent par entraîner la perte du canon. L'équipage du canon a réussi à se retirer via Corbie vers Amiens. Le canon de remplacement ne put arriver d'Angleterre que le 12 juillet 1918, date à laquelle il fut rencontré à Authie. Déménagé à Hermies les 22 et 23 septembre (des efforts ont été faits pour récupérer le matériel perdu en mars, mais en vain) et a tiré en soutien aux attaques sur la ligne Hindenburg. Déménagé à Villecholles le 2 octobre et peu après à Lealvillers, où il se gare après avoir tiré ses derniers coups de feu de la guerre.

Obusier n°2
Embarqué à Southampton le 15 février 1915.

Obusier n°3

Obusier n°4

Obusier n°5
Débarqué en France du 11 au 13 décembre 1915, mais n'a tiré son premier coup que le 24 juin 1916. A participé à l'action lors de la bataille de la Somme et à Arras. De nouveau en action lors de la bataille de Messines, puis à Nieuport et Dixmude. Le journal de guerre couvre la période allant jusqu'au 28 février 1918.

Obusier n°6

Obusier n°7

Obusier n°8

Obusier n°9

Obusier n°10

Obusier n°11
Débarqué à Boulogne du navire « Archimède » le 2 juillet 1916 et se dirigea vers Caestre. S'installe à Erquinghem-Lys le 11 octobre 1916 et peu après à Neuve Eglise (Nieuwkerke). Le 7 janvier 1917, il reçut l'ordre de démonter le canon et de le déplacer. Passé par Locon et Estrée-Cauchie jusqu'au Bois de la Haie. Début avril, tir sur des cibles dans la région de Thelus au début de la bataille de la crête de Vimy. Déménagé à Roclincourt le 16 avril et tiré sur des cibles à Arleux et Oppy. Entre le 30 juin et le 9 juillet 1917, il s'installe en Flandre, atteint Steenvoorde puis se met en position. Tiré sur des cibles dans la région de Saint-Julien en préparation de la troisième bataille d'Ypres. Le canon a été déplacé plusieurs fois au fur et à mesure de l'avancée. A subi de lourdes pertes pour une unité de ce type, en septembre 1917. Canon révisé en janvier et février 1918, après une utilisation intensive lors de l'offensive d'Ypres. Déménagé à Wormhoudt le 12 avril et posté près de Poperinghe en juin. Tiré sur Kemmel. L'arme a été retirée de l'atelier à Steenvoorde en raison de rayures sur le canon, et l'équipage est temporairement allé travailler avec d'autres unités. Le 8 octobre 1918, forme la 2e batterie de siège RMA avec 12 canons. De nouvelles armes ont été prises en charge le 17 octobre. La batterie arrive à Poperinghe le 10 novembre et se déplace le lendemain matin vers Bisseghem.

Obusier n°12
Débarque à Boulogne le 10 septembre 1916 et procède au montage du canon dans le bois de Mametz, Somme. Entré en action jusqu'à ce que l'arme soit transférée à Englebelmer le 14 octobre. Participe à la bataille de l'Ancre. En janvier 1917, il s'installe au Bois de la Haie, d'où il participe à la bataille de la crête de Vimy, tirant sur des cibles dans la région de Givenchy-en-Gohelle. Déplacé vers Thélus puis Roclincourt alors que les combats se poursuivaient et que la position avançait. En juillet 1917, déplacé à l'ouest d'Ypres dans le cadre de la préparation de l'offensive à venir, mais le 10 juillet, il subit des pertes et des dommages au montage et au transport des canons. La position a été modifiée et le canon est entré en action le 24 juillet. Alors que l'avancée se poursuivait, le canon fut déplacé au nord-est d'Ypres le 14 septembre 1917. La position fut changée à plusieurs reprises au cours des semaines suivantes, au cours desquelles les canons tirèrent en soutien à plusieurs attaques, dont celles de Passchendaele. Canon révisé en décembre 1917. Très peu de tirs au cours des mois suivants. L'offensive allemande du Lys provoqua le déplacement vers Abeele via Wormhoudt et Esquelbecq en avril 1918. Le 10 juillet, un obus ennemi toucha une grange où des hommes dînaient, tuant un total de 12 hommes et en blessant 8 autres. Tiré en soutien aux attaques de l'armée belge fin septembre 1918. Le 8 octobre 1918, formation de la 2e batterie de siège RMA avec 11 canons. De nouvelles armes ont été prises en charge le 17 octobre. La batterie arrive à Poperinghe le 10 novembre et se déplace le lendemain matin vers Bisseghem.

source LLT



michel

Bonjour,
Loading 9.2 inch railway gun Bethune 17-04-1918 IWM Q 11592
Men loading a shell onto a British 9.2 inch railway gun, near Bethune, France.

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Bonjour,
NLS Haig - Rolling a huge shell up to the gun
Soldiers in Englebelmer Wood on the Somme moving a 15-inch Howitzer shell by rolling it along a pair of rails.

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Bonjour,
Les tireurs de la batterie n° 10, Artillerie marine royale affichant des obus de 15 pouces avec un message écrit indiquant: 'Au capitaine Fryatt meurtrierss'. Becourt, le 3 août 1916.

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Bonjour,

Artillerie royale à la 12e cantine divisionnaire sur la route d'Arras près de St. Pol, février 1917.

Amicalement

Bonjour,

IWM Q 4953; « Artilleurs de l'artillerie royale de campagne (RFA) près de Miraumont, mars 1917. Remarquez un sergent tenant un accordéon. » (Lt John Warwick Brook).

Amicalement

Bonsoir Pascal,

Merci beaucoup pour cette très belle photo tant pour l'ambiance quelle présente que pour les différents détails vestimentaires et autres.

Excellente soirée là-haut chez toi.
Amicalement,
Jean-Luc

Bonjour,

IWM (Q 8616) ; « Première bataille de Bapaume (opération Michael). Une batterie Mark II de 60 livres de la Royal Garrison Artillery en action à découvert près de La Boisselle, le 25 mars 1918. Remarquez une ligne de soldats reposant au premier plan. "

Étant tirés par 8-12 équipes chevaux, ou camions à moteur 4RM, les batteries de 60 livres étaient beaucoup plus mobiles que les canons très lourds et pouvaient suivre le rythme de l'avance allemande. Cette batterie particulière a été suivie par le photographe Lt David McLellan jusqu'à la périphérie d'Albert.

Amicalement

Bonjour,

Hommes de la 124e batterie de siège, Royal Garrison Artillery manipulant un obusier de 9,2 pouces sur un sol boueux à Pilkem près d'Ypres, le 14 septembre 1917. IWM (Q 3252)

Amicalement