En l’honneur du Corporal Thomas Arthur FRICKER du Royal Field Artillery

Bonjour,

Ce post afin de rentre hommage au Corporal Thomas Arthur FRICKER du Royal Field Artillery, 29th Trench Mortar Battery, matricule 14651, mort au combat le 17 Juillet 1916 il repose désormais au cimetière militaire de Martinsart dans la Somme.
Qu’il repose en paix, ne jamais oublier leurs sacrifices. Do not forget.

Amicalement

Bonjour,

Beau travail de mémoire

Amicalement   Charles

Bonsoir kougar,

Un joli rappelle pour ces gars .

Cordialement,
Jean-luc

Bonjour messieurs,

Merci pour vos commentaires, ce type d’hommage n’attire décidément pas les foules mais ça n’est pas bien grave, pour moi c’est un devoir de faire ce type de réalisation afin que ces hommes tombés pour notre liberté ne tombent pas dans l’oublie

Amicalement

bonjour à tous,
Je découvre et..
Bravo pour la mémoire.

Quaren'tro

Bonjour,

Pour continuer dans le Royal Artillery

Amicalement

British soldiers operating an 18-pounder field gun.
The Retreat from Mons, August - September 1914

Les troupes britanniques déplacent un obusier Mk V de 8 pouces en position, Bécordel-Bécourt, dans le département de la Somme, en Hauts-de-France. 26 mai 1917.

(Bécordel-Bécourt est un village à environ 2.5 kilomètres au sud-est d'Albert. )

Le cimetière de Dartmoor a été commencé (en tant que cimetière militaire de Becordel-Becourt) en août 1915 et a été utilisé par les bataillons tenant cette partie de la ligne ; son nom a été changé en mai 1916 à la demande des 8 et 9 Les bataillons du régiment du Devonshire. En septembre 1916, la gare principale du XV corps a été établie dans le quartier, mais tout au long de 1917, le cimetière était à peine utilisé. Il est passé aux mains des Allemands le 26 mars 1918, mais a été repris le 24 août par la 12 e division.

Amicalement

La bataille de la lys.
Les Artilleurs de l'artillerie royale de campagne ont mis un pistolet de 18 livres à l'action aux côtés d'un chalet en ruine. Près de Saint-Floris, Nord-pas-de-Calais, France.
2 MAI 1918.

18-les canons ont été utilisés efficacement au printemps 1918 contre l'attaque des troupes allemandes lors de leur offensive de printemps. Cependant, l'efficacité du plan d'incendie allemand le 21 er mars a fait de nombreuses victimes parmi les artilleurs, et dans trop de cas, les batteries n'ont pas pu se retirer avant d'être envahies. Néanmoins, le 4 avril, les allemands ont fait leur dernière tentative pour briser la ligne britannique ayant avancé dans la zone de Villers Bretonneux tenue par les 14 ème et 18 ème divisions, renforcées par le 16 ème et 39 e division de la division, bien que les batteries aient été effectif par des pertes. À la mi-matinée, les observateurs étaient en train d'engager l'infanterie allemande, mais ceux-ci ont pressé et atteint juste à l'est de Hamel. Le brigadier-Général Edward Harding-Newman, l'arc de la 14 e division a émis l'ordre suivant " cette attaque doit et peut être arrêtée par le feu d'artillerie. Si une batterie ne peut plus arrêter efficacement l'ennemi de sa position actuelle, elle va à la fois aller de l'avant vers une position sur la crête, pour engager l'ennemi sur des sites ouverts. Il est essentiel que l'artillerie tienne la ligne et qu'ils le fassent." le feu de plusieurs brigades de ad, principalement avec des batteries de 18 livres, a arrêté l'avance allemande, y compris certains de la 16 e division qui se sont déployés à la crête Et des observateurs de l'appel de demandes de la 177 brigade en utilisant la tour de l'Église Hamel Cette action a effectivement mis fin à l'avance allemande.

Amicalement

15 mai 1918

Les Artilleurs de l'artillerie royale de campagne entraînent leurs chevaux dans un exercice de masque à gaz près du Mont-Saint-Éloi, Nord-pas-de-Calais.
Les ruines de l'abbaye peuvent être vues en arrière-plan.

(photographe - deuxième lieutenant David Mclellan)
( Iwm Q 8794)

Sur la colline surplombant Arras se trouvent les vestiges des deux tours qui témoignent non seulement de l'abbaye autrefois puissante du Mont-Saint-Éloi mais aussi des combats sauvages qui ont eu lieu dans la région pendant la grande guerre.

Depuis le début de la guerre, les tours de l'abbaye ont été utilisées par les troupes françaises pour observer les positions allemandes sur l'éperon de Lorette et la crête de Vimy. Les soupçons des soldats français ont été excités quand les allemands ont tiré sur tous leurs mouvements jusqu'à ce qu'on se rend compte que ce qui les a donné n'était pas un espion mais les oiseaux qui nichent sur les tours qui ont pris le vol quand les troupes les ont dérangées.

Au début de l'année 1916, l'armée britannique releva les troupes françaises dans le secteur. Ce dernier avait établi une extension au cimetière local de écoivres, au pied de la colline, pour enterrer 786 de leurs soldats qui y sont morts, principalement dans les combats de 1915. Un tramway militaire utilisé pour transporter des fournitures aux troupes A l'avant aussi servi d'ambulance pour ramener les morts et les blessés. Ce système de transport a conféré au cimetière militaire de écoivres une caractéristique insolite en ce que, de l'extension française à la croix du sacrifice, les tombes des soldats principalement britanniques et Canadiens sont dans l'ordre chronologique concernant la date de la mort : les tombes des hommes de La 46 ème division Nord-Midland qui a relevé les français en mars 1916 est suivie de celles de la 25 ème division qui sont tombées dans l'attaque allemande au pied de la crête de Vimy en mai 1916 ; ensuite venez les hommes De la 47 e division de Londres qui est décédée entre juillet et octobre 1916 et enfin les tombes des Canadiens qui ont perdu la vie lors de l'assaut réussi sur la crête de Vimy en avril 1917.

Amicalement

Bonjour,

9 January 1918

A Royal Artillery signal rocket rack in a trench in the Arleux sector, near Roclincourt, held by the 12th Battalion, East Yorkshire Regiment, 92nd Brigade, 31st Division

Amicalement

Bonjour,

1 January 1918

Amicalement

Bonjour,

Men of 20th Division unloading limbers to form a roadside dump of 18-pounder shells at Drocourt, Pas-de-Calais
15 October 1918

Amicalement

Bonjour,

Battle of Transloy Ridges (1-18th October 1916).
A 60 pounder gun being moved forward with difficulty by troops of the Royal Field Artillery and horses near the village of Bazentin le Petit.

Heartened by the occupation of much of the Thiepval Ridge, Haig determined to continue large-scale offensive operations into the autumn. The Battle of the Transloy Ridges represented Fourth Army's part A 60pdr gun being moved forward with difficulty by men and horses near the village of Bazentin-le-Petit, October in this grand design, and its constituent costly attacks were intended to coincide with simultaneous advances by the Reserve Army planned for early October.

The fighting took place during worsening weather and dreadful battlefield conditions. Fourth Army's objectives necessitated, as a preliminary, the taking of Eaucourt L'Abbaye and an advance on III Corps entire front was launched, after a seven-hour bombardment, at 3.15pm on 1 October. The attack met fierce German resistance and it was not until the afternoon of 3 October that the objectives were secured. Rawlinson’s follow-up attack was delayed by atrocious weather. Starting at 1.45pm on 7 October the advance involved six divisions and resulted in heavy British casualties and little success except for 23rd Division's capture of Le Sars. Continuous rain during the night hampered the removal of casualties and further forward moves. The failure to secure original battle objectives led to a renewed major assault on the afternoon of 12 October when infantry on Fourth Army’s right floundered towards German trench lines in front of Le Transloy, while formations on the left slogged towards the Butte de Warlencourt. Despite the slightest of gains (measured in hard fought for trench yards) the operation was not successful.

Orders for a fresh attack, issued late on 13 October, ignored the desperate conditions and physical state of the attacking troops. The subsequent early morning assault on 18 October (well before daylight) witnessed heroic efforts to advance but minimal gains were made against resolute defenders well supported by accurate artillery fire. (www.cwgc.org)

Amicalement

Bonjour,

Battle of Pozieres Ridge 23 July - 3 September 1916

QF 18 pounder gun, its crew stripped to the waist in the sunshine, putting over curtain fire or barrage. Carnoy Valley, Somme. 30 July 1916.

Amicalement

Bonjour,

Soldats de la 68 e artillerie de campagne canadienne avec une pièce d'artillerie, Vancouver, Colombie-Britannique - c. 1917

Amicalement

Bonjour,

10 octobre 1917

Un canon de 18 pounder a été transporté dans la boue à Broodseinde Ridge pour une position plus loin, en soutien aux Australiens qui avancent, deux jours avant l'attaque initiale sur la crête de Passchendaele, dans le secteur d'Ypres.

identifié, gauche de l'arme, gauche à droite : Gunner (Gnr) W E Drummond, (Gnr) J Brannon (à droite de Drummond), (Gnr) C V Cox (devant Brannon), deux hommes non identifiés derrière Cox 34401 (Gnr) Un Hewitt (devant Cox), (Dvr) A C Sampson (debout sur la roue, retour à la caméra) (Gnr) G G Dowling (premier plan, corde de traction sur la roue avant).
Côté droit de l'arme, gauche à droite : (Dvr) Hughes (Dvr) F Peace non identifié non identifié Bombardier T (R ?) Garniss, Sergent W Reynolds (extrême droite, debout).

Amicalement

Bonjour kougar,

Chacune de ces photos renferment leur lots de détails tous plus interessant les uns que les autres.

Merci pour tous kougar.

Jean-luc
...

Bonjour,

A Royal Field Artillery Sergeant on horseback, poses for the amateur photographer, Alfred Dupire at 45, Rue d'Amiens, Warloy-Baillon in 1916.

Amicalement

Bonsoir kougar,

C'est une jolie photo encore une fois.
Merci
Jean-luc
...

Bonjour KOUGAR et tous les Amis

Très beau cadre en mémoire du Corporal FRICKER et magnifiques photos avec énormément de détails de l'Artillerie qui a joué un rôle capital dans cette Guerre !

MERCI POUR CE MAGNIFIQUE PARTAGE ET CE TRÈS BEAU TRAVAIL.

Amitiés à tous et bonne journée

JPaul62

Bonjour,

Des artilleurs de l'artillerie de la garnison royale malmène un obusier de 6 pouces (BL 6 pouces 26 lb). Ypres, 27 août 1917.

Amicalement

Bonjour,

Les troupes britanniques et leurs canons d'artillerie sont évacués de la baie de Suvla, Gallipoli, sur des radeaux en plein jour, décembre 1915.

(Source photo- IWM Q 13637)

Amicalement  

Bonjour,

Soldats de la 95ème batterie, Royal Garisson Artillery chargeant un obusier de 9.2 pouces lors de la bataille d'Amiens, le 8 août 1918.

Amicalement

bonsoir,

voici sa medal card :





michel

Bonjour à tous,

Superbe post comme d'habitude et de surcroît pour les camouflages des canons.
Merci beaucoup.
Jean-luc