Les plaques d'identité du Commonwealth (Dog Tags)

Bonjour,

Voici une plaque d’identité Australienne de terrain ayant appartenu au Private Montagu, James LONG, matricule 2550 du 3th Field Ambulance de l’Australian Army Médical Corps, de religion Roman Catholic, James n’est pas mort au combat.
James s’engage le 30 Octobre 1914, il embarque à Melbourne le 22 Décembre 1914 à bord du HMAT A35 Berrima, il débarque à Gallipoli le 02 Mars 1915, il passe par Heliopolis, Abbassia, Helouan, Alexandrie. Puis il arrive en France le 27 Octobre 1916, il serra blessé le 11 Mai 1917.
Il rentrera chez lui en Australie le 23 Octobre 1918.
James décèdera le 18 Décembre 1923.

DO NOT FORGET AUSTRALIA

Amicalement

Bonjour à tous, une plaque d'identité artisanale, effectuée dans une monnaie française. Elle est gravée au nom du private Richard JAMES,
service number 22455, affecté à l'Army Veterinary Corps. Il a reproduit le sigle de son insigne au milieu de cette plaque.



(Le private de l'AVC qui figure sur cette carte n'est pas R. JAMES)











Byng

Bonjour,

Voici une plaque d’identité Australienne  il était temps de la sauver vu les concrétions
Cette plaque à appartenue au Private Robert Richard TYRRELL, matricule 1054 du 19th Battalion company C, Australian Infantry de l’Australian Impérial Forces, de profession voiturier et malgré qu’il était marié, de religion catholique, il s’engage le 26 Avril 1915 à l’âge de 30 ans et embarque le 25 Juin 1915 à Sydney New South Wales (Nouvelle-Galles du Sud) à bord du HMAT Ceramic A40. Le 08 Décembre 1915 il est admis à l’université de la guerre hôpital Southampton. Le 1er Janvier 1917 il arrive au Havre puis il rejoins son unité le 05 Janvier 1918. Il serra blessé en action par un éclat d’obus le 27 Avril 1918. A partir du 1er Mai 1918 il passe dans différents hôpitaux Rouen, Trouville puis au Havre le 28 Mai 1918. Il repassera par l’Angleterre avant de rentrer chez lui en Australie le 04 Janvier 1919. Il décèdera le 05 Avril 1966.

Amicalement

Bonjour,

Sortie de l’aprèm avec beaucoup beaucoup de pluie, je suis rentré trempé mais ça en valait la peine
Voici donc une plaque d’identité de terrain ayant appartenu au Sapper  Engineers William John WILD, matricule 240219 du 205th Overseas Tiger Battalion, 4th Canadian Division. Né le 27 Janvier 1896 il résidait à Hamilton ONTARIO. De religion Methodist, il était étudiant lors de son engagement le 07 Mars 1916. Blessé par Shrapnels au champ de bataille il est évacué vers la 33rd Casualty Clearing Station de Ligny Saint Flochel ou il succombera à ses blessures le 02 Septembre 1918 à l’âge de 21 ans.
Il repose au cimetière militaire de Ligny-St-Flochel (Pas de Calais 62) British Cemetery Averdoing, allée III.E.27.

Qu’il repose en paix

Amicalement

Bonjour à tous, rentrée récemment, cette plaque d'identité du Tank Corps, réalisée dans une pièce de 2 Francs de 1916. Je n'ai malheureusement
pas encore retrouvé le parcours du tankiste qui la portait.

















Byng

bonsoir,

voici ce que j'ai trouvé avec le nom mais rien en rapport avec le Tank Corps.
j'ai u le tour avec un gars ayant appartenu à 2 régiment d'infanterie mais qui a fini au Machine Gun Corps (branche motorisée).

David J Honour
Oxfordshire Yeomanry (Queen's Own Oxford Hussars), Corps of Hussars 2107, 285316

Ed J Honour
Royal Field Artillery 2748, 960723

Frederick J Honour
Queen's (Royal West Surrey) Regiment G13323

Frederick J Honour
Oxfordshire and Buckinghamshire Light Infantry, Labour Corps 202226, 655559

Frederick J Honour
Army Service Corps Dm2/206456

Leonard J Honour
Royal Engineers 30975, Wr25945



michel

argyll a écrit:

voici ce que j'ai trouvé avec le nom mais rien en rapport avec le Tank Corps.

Salut Michel, oui, je les avais bien trouvé ceux-là mais pas celui qui nous intéresse et le "roll of honour" concernant le Tank Corps
n'est pas accessible gracieusement.




Byng

Byng

bonjour à tous je vous présente ma trouvaille du jour sur une petite brocante au village dont je suis originaire.


Il s'agit de la plaque d'identité de granhold herbert du royal army medical corps
Ce qui est intéressant ce sont les inscriptions au revers de celle ci qui indique que notre homme faisait parti de la 21st brigade de la 7th division cette unité était bien présente lors de la bataille de loos en gohelle du 25sept 1915 jusqu'au 8oct 1915

Bonjour à tous, je vous présente une plaque d'identité qui faisait également office de médaillon. Elle comporte à l'intérieur, deux photos de son propri-
étaire, le "private" Albert William Portwood, matricule 225742, enrôlé à Toronto le 28 avril 1916, au 6th Draft Depot Regiment (Canadian Mounted Rifles),
puis reversé au 19th Machine Gun Coy, dès son arrivée en Angleterre le 10 février 1917. Il débarque en France le 19 août 1918 au sein du Canadian
Machine Gun Corps où il est engagé sur le front ouest jusqu'au 30 septembre de la même année. Le 2 octobre, il est porté en renfort au 3rd Battalion
Canadian Machine Gun Corps jusque sa démobilisation en mars 1919.


















Byng

bonjour à tous je vous présente une plaque d'identité ayant appartenu au private clarence alfred possingham représentant la carte d'Australie

Bonjour,
Voici une plaque d’identité de terrain ayant appartenue au Private James HUTCHINSON, matricule 24721 du 17th Royal Scots, James à survécu aux combats.

Amicalement





 



Merci Michel pour la Médal card et le parcours du 17th Royal Scots

 

17th (Service) Battalion (Rosebery)
Formé à Édimbourg en février 1915 par Lord Rosebery, en tant que Bantam Battalion. Déménagé à Glencorse en avril 1915.
Déménagé à Selkirk en mai 1915.
Juin 1915 : déménagé à Masham et passa sous le commandement de la 106e brigade, 35e division. Transféré à Chisledon en août 1915.
Débarqué au Havre le 1er février 1916.

histoire de la 35e Division
Le 10 décembre, le War Office autorisa la formation de la cinquième armée nouvelle. Comme les autres armées de Kitchener, elle comprenait six divisions, dans ce cas numérotées de 37 à 42. Ce qui est finalement devenu la 35e division était à l'origine numéroté 42e. En avril 1915, la quatrième nouvelle armée originale a été démantelée et ses unités converties à des fins d'entraînement et de recherche de repêchage. Lorsque cela a eu lieu, la Cinquième Nouvelle Armée est devenue la Quatrième Nouvelle Armée et ses Divisions ont été renumérotées de la 30e à la 35e : ainsi est née ce dont nous nous souvenons comme la 35e Division.

La division était en grande partie composée d'unités élevées localement connues sous le nom de «bantams», composées de troupes qui étaient sous la hauteur minimale réglementaire normale de 5 pieds 3 pouces.

Après un entraînement précoce près de chez eux, les unités se sont concentrées en juin 1915 dans le North Yorkshire. Le QG divisionnaire était à Masham et les unités étaient à Roomer Common, Marfield, Fearby et Masham. En août 1915, la Division s'installe à Salisbury Plain, le QG étant installé à Marlborough. Au cours des semaines suivantes, des déménagements ont été effectués vers Chiseldon et Cholderton. À la fin de 1915, des commandes ont été reçues pour équiper un déménagement en Égypte, mais cela a été rapidement annulé.

Le 28 janvier 1916, la division commença à traverser la Manche et au début du 6 février, toutes les unités étaient concentrées à l'est de St Omer. (Remarque : il s'ensuit qu'aucun homme qui faisait partie du contingent initial de cette division n'a reçu l'étoile de 1914-1915).

La division est ensuite restée sur le front occidental pour le reste de la guerre et a pris part aux engagements suivants :

1916
Les batailles de la Somme, 1916, mais dans des phases spécifiques connues sous le nom de combats pour Arrow Head Copse et Maltz Horn Farm et les combats pour Falfemont Farm, tous deux fin juillet.

Le 8 décembre, le commandant divisionnaire (le major général HJS Landon) a soumis un rapport se plaignant que les projets de remplacement qu'il avait reçus n'étaient pas du même niveau physique difficile que les bantams d'origine, mais étaient des hommes sous-développés et inaptes des villes. Une inspection médicale a été dûment effectuée et 1439 hommes ont été rejetés des rangs. Une deuxième inspection a enlevé un autre lot, portant le total à 2784. Ces hommes ont été pour la plupart transférés au Labour Corps. Leurs places étaient remplies d'hommes transférés de régiments de yeomanry dissous; ils devaient être rapidement formés aux méthodes d'infanterie et un dépôt divisionnaire fut formé à cet effet. Les brigades ont alors reçu l'ordre de ne plus accepter de bantams. Les bantams d'origine qui ont passé l'inspection médicale sont restés en place.

1917
La poursuite de la retraite allemande vers la ligne Hindenburg
Les combats dans la forêt de Houthulst**
La deuxième bataille de Passchendaele**
** les batailles marquées ** sont des phases des troisièmes batailles d'Ypres 1917

1918
La Première Bataille de Bapaume, une phase des Premières Batailles de la Somme 1918
La Bataille d'Ypres^
La Bataille de Courtrai^
L'action de Tieghem^
^ les batailles marquées ^ sont des phases de l'Avance Finale en Flandre

Le 9 novembre, la Division a établi une tête de pont sur l'Escaut près de Berchem. deux jours plus tard, la division reçut l'ordre de pousser jusqu'à la ligne de la rivière Dendre et avant 11 heures, elle était entrée à Grammont ; au moment de l'armistice, des postes avaient été établis de l'autre côté de la rivière et à l'écluse.

La division reçut l'ordre de se déplacer vers l'ouest le 12 novembre et continua de le faire au cours des jours suivants, passant par Ypres le 28 novembre. Le 2 décembre, le QG divisionnaire avait été établi à Eperlecques. De nombreux mineurs ont été démobilisés au cours du mois et la démobilisation s'est déroulée rapidement. En janvier 1919, des unités de la Division sont appelées à réprimer les émeutes dans les camps de transit de Calais. La Division a cessé d'exister à la fin d'avril 1919.

La Grande Guerre a coûté à la 35e Division 23915 hommes tués, blessés ou portés disparus.

Bonsoir,

Voici une plaque d’identité artisanale Australienne, celle ci à appartenue au Private Edward, Gilbert KELLY, matricule 2939 du 50th Infantry Battalion. De religion catholique et originaire de George Street, North Adélaide, Edward était fermier lorsqu’il s’engage le 03 Août 1916 à l’âge de 18 ans et 7 mois à Adélaide South Australia. Il embarque le 07 Novembre 1916 à bord du HMAT A19 AFRIC. Blessé plusieurs fois sur le théâtre des opérations Edward survivra au conflit   Il rentre en Australie le 09 Février 1919 avec 2 ans et 276 jours de service. Edward s’éteindra le 18 Juin 1971.
Un grand merci au membre qui m’a permis de retrouver le matricule d’Edward car sans numéro de matricule difficile de retrouver, mais au 50th Battalion pas de doute c’est bien notre homme

Qu’il repose en paix

Amicalement

Bonjour,

En ce jour si particulier pour le souvenir de mémoire, je vous présente les dernières trouvailles sur secteur arrière, un collar Australian Impérial Forces avec un particulier système de petite goupilles au niveau des lugs, première fois que je vois ça et une jolie plaque d’identité ayant appartenue au Driver Leonard Percy HITCH, matricule 29959 de la 2nd Division Ammunition Column de l’Australian Impérial Forces. De religion catholique et originaire de Streaky Bay, West Coat South Australia. Leonard était ouvrier agricole lorsqu’il s’engage à l’âge de 20 ans le 14 Mars 1916. Il embarque à Melbourne à bord du HMAT A60 AENEAS le 03 Octobre 1916, il rentre en Australie le 1er Juillet 1919 avec 3 ans et 108 jours de service. Leonard s’éteindra le 29 Mai 1960.
Qu’il repose en paix, ne jamais oublier leurs sacrifices

Amicalement  

























 

Bonjour à tous, une plaque d'identité (qui semble impactée) ayant appartenu au private James Warren Carroll, service number 754146,
engagé tout d'abord, au 119th (Algoma) Battalion le 20 janvier 1916, il arrive en Angleterre le 19 août 1916 pour être reversé au 52nd
(New ontario) Battalion le 5 décembre 1916 (Bramschott). Il sera blessé accidentellement en France, le 13 janvier 1917, à la face (cuir
chevelu) puis le 13 août 1917, à une jambe et un oeil, lors d'un entrainement (suite à une explosion de projectile qui trainait dans l'herbe).




Ci-dessous, billets d'hospitalisation concernant le private JW Carroll.




















Byng

Bonjour tout le monde

Je vous présente  2 plaques de terrain de ma collection

La première es en argent , portant le marquage « sterling » au verso , poinçonner a la main par le soldat

Marquages au recto :

J.m. Cann
1567
I.w. York




La seconde es un modèle disque appartenant à un soldat australien, elle a la particularité au verso d’avoir le blason de l’Australie avec la devise  (peut être une plaque achetée en fourrier)

Marquage au recto :

5373
J.a. Mellow
21 eme btn
AIF
Melth





Bon dimanche !

Voici quelques artisanales malheureusement vierges..

voici une plaque ayant appartenu à henry duggings 107th canadians

Bonjour,

Voici un bracelet d’identité artisanal ayant appartenu au Private James DUNCAN, matricule 2076 du 40th Battalion Australian Impérial Forces.
De religion presbytériens (protestant) James vivait dans la ville de HOBART Tasmania Australie ou il exerçait la profession de menuisier, il était marié à Sandy DUNCAN, c’est le 17 Juillet 1916 que James s’engage à l’âge de 43 ans. Il embarque le 23 Septembre 1916 à Melbourne à bord du HMAT A49, après le théâtre des opérations sur le front occidental il rentre en Australie le 01 Août 1919, il décéderas le 13 Février 1926 à l’âge de 54 ans.

Do not forget Australia

Amicalement

Bonjour,

Voici une plaque d’identité de terrain ayant appartenue au Private Charles BUCHAN, matricule 3465 du 7th Brigade Australian Light Trench Mortar Battery, 25th Battalion de l’AIF (Australian Impérial Forces). Née à Glasgow (Ecosse), célibataire, Charles exerce la profession de Barman à Brisbane Queensland lorsqu’il s’engage le 03 Août 1915. C’est à l’âge de 25 ans qu’il embarque vers le front occidental le 03 Janvier 1916 à Brisbane à bord du HMAT A55 « Kyarra », il rentrera chez lui en Australie au printemps 1919.

Amicalement























Patch


Brief History
7th Australian Light Trench Mortar Battery

Light Trench Mortar Batteries were under command of the Brigade of the same numeric designation - in this case the 7th Brigade of the 2nd Division.

Organisationally, Light Trench Mortar Batteries were under the direct command of the Brigade Headquarters but were generally deployed close to the front line so that the enemy was within range.

Light Trench Mortar Batteries went where their parent Brigade went and their involvement in battles / campaigns reflects that of the Brigade.

Trench Mortar Batteries and Machine Gun Companies gave the Brigades their own integral fire support. The trench mortars were the Brigade's own ‘artillery’ and the soldiers were generally drawn from units within the Brigade. The Battery would have, as in the accompanying photo, provided support exclusively to the Battalions of the Brigade.

Mortars are simple but terrifyingly effective weapons; almost as old as gunpowder itself.  They are relatively short barrelled, most often smooth bore weapons that fire projectiles at a high angle at relatively modest velocities. This makes for modest pressures and therefore relatively simple manufacture. The bombs are generally but not always, fin stabilised, with a point detonating fuse.

At the start of the First World War, the Trench Mortar did not exist in the British Army. The Germans had them, where they were known as Minenwerfers, but certainly not in great numbers.

The mortar’s characteristic high angle trajectory suited it to trench warfare. Its capacity to lob bombs right into trenches soon ensured that demand for them grew. The suffered one major drawback; their relatively short range meant they were necessarily located close to the front lines, which did not enamour them to the infantry (because they attracted enemy artillery fire) and made them vulnerable to direct infantry assault.

Mortars fire high-explosive fragmentation bombs at a high angle, which detonate on impact or very soon thereafter.  In military parlance the mortar provides 'Indirect' fire.  In this context that means the weapon is not aimed along a line of sight directly at the target like a rifle or machine gun.  In the case of the mortar the projectile follows a high looping path to the target not unlike a tennis ball lobbed over the net to the opponent.  Its point of impact is determined by the power of the propelling charge, the elevation of the barrel or tube, and the direction (or bearing) it is pointing.

The light trench mortar was the Stokes 3 inch mortar. It was effectively not much more than a simple tube for a barrel, with a bipod to support it and a steel base plate on which to mount the tube and bear its recoil. It fired a cylindrical bomb to about 800 yards, although its range improved throughout the war. Later the bombs were fin stabilised. These were issued to Light Trench Mortar Batteries, attached to each Brigade Headquarters. They were relatively mobile and could be dismantled and packed up in minutes.

The Stokes Mortar was served by a three man crew. Mortars tend to be ‘pretty basic’ – the Stokes Mortar particularly so although they evolved quickly.

It comprised a barrel, a smooth bore steel tube which had a firing pin fitted in its base.

A bipod held the tube at the required elevation and azimuth (bearing) and was fitted with rudimentary sights.

A base plate absorbed the recoil and reduced the rate at which the weapon embedded itself the earth on which it was positioned, from the recoil of each round fired.

Cylindrical bombs fitted with impact fuses were launched from the mortar by a simple percussion firing system.

The Stokes Mortar generally had a crew of three.  

The ‘Number One’ in the crew would lay or aim the mortar - although they were not in direct line of sight to the enemy.

He would use an aiming post and set a bearing to the target on the mortar’s dial sight using the aiming post as the datum or ‘zero line’.

An elevation would be set using a clinometer and range tables. The mortar fired a characteristically high angle trajectory and maximum range was achieved at about 45 degrees.

The ‘Number Two’ loaded and fired the mortar.

He would load a bomb into the muzzle of the mortar by hand. As he released it, the bomb would slide down the barrel until it hit a firing pin in the mortar’s base.

This would initiate a primer in the base of the bomb, igniting the cordite propellant charge, the blast from which would then project the bomb out of the barrel.

The flash and blast of the mortar could give its position away so they were generally fired from cover - such as from the base of a trench - the deeper the better!

The ‘Number Three’s’ task was to keep a supply of bombs up to the mortar.

This involved collecting ammunition from carrying parties and stowing it nearby, then unpacking the ‘ready’ bombs from their transportation packaging.

On receipt of an order to fire, the Number Three would adjust the charges if necessary to match the range and elevation necessary to engage the target by removing charge bags of propellant from the bomb.

When the fire mission commenced, he would remove the safety pin from the fuze before passing the bomb to the Number Two.

At high rates of fire it was possible to get 15-20 bombs in the air before the first one hit the ground; this was perhaps the mortar’s most valued attribute - a high volume of fire in a short space of time. The high angle trajectory meant that bombs descended steeply and could lob directly into a trench or dugout and then detonate to deadly effect. Hundreds of jagged steel splinters would be created by each bursting bomb.

Trench Mortar Batteries would have been high on the list of priority targets for enemy counter battery fire - fired by heavy artillery. This meant they may not be the most welcome of companions in the front line! Many of the casualties sustained by mortar battery personnel would have been thus inflicted. The other vulnerability lay with their being relatively close to the Front Line and thus were potentially victims of enemy infantry raiding parties.

Bonjour,

Voici une plaque d’identité de terrain, celle ci ayant appartenue au Private George CALVERT, matricule 91143 de la 30th battry du Canadian Field Artillery, George à survécu aux combats.

Amicalement

Bonjour,
Voici une autre plaque de terrain et de réalisation artisanale, celle ci ayant appartenue au Private Herbert WHITMAN, matricule 651298 du 1St Canadian Infantry 160th Battalion. Herbert est née le 29 Juillet 1884, il vivait à CHESLEY ONTARIO lorsqu’il s’engage le 06 Janvier 1916 à l’âge de 31 ans, Herbert n’était pas marié. C’est après 2 ans 1/2 de combat qu’ Herbert trouve la mort sur le champ de bataille le 01 Octobre 1918 à l’âge de 33 ans. Il repose au British Cemetery à SANCOURT dans le département du Nord (59) tombe I.C.37.
Qu’il repose en paix

Amicalement

Bonjour,
Voici une plaque d’identité de terrain ayant appartenue au Private Valentine.R. REDFEARN, matricule 36028 du Nottinghamshire and Derbyshire Régiment, puis matricule 405743 du  Labour Corps, de religion catholique (Church Of England), Valentine n’est pas mort au combat.

Amicalement

Bonjour,
Voici une autre plaque d’identité de terrain, celle ci ayant appartenue au Driver George JAMES, matricule 11331 du Royal Field Artillery, 152 th Brigade, de religion catholique (Church Of England), George n’est pas mort au combat.

Amicalement