Army Vétérinary Corps

bonjour superbe photos jaimais vue je possede une trousse de veterinaire anglaise completes sur se theme salutation dg

Moi j'aime bien celle-là, cet instructeur pour futurs maréchaux ferrants au camp de Shorncliffe.



(Sources Archives Nationales canadiennes)


Byng

Salut Robin,

Oui elle est sympa aussi celle ci

Amitiés

Bonjour à tous,


Alors Dominique, tu reconnais cette trousse de vétérinaire de la photo de l'ami Kougar



Amicalement

Charles

Bonjour,

La Somme, sur ces terres de souvenir  baignées de soleil, silence et brume caresse les vieux champs de bataille et cimetières dans lesquels les coquelicots poussent entre les rangées de tombes de toute une génération de jeunes hommes qui, dans la boue des tranchées, ont fait leur devoir avec exceptionnel courage, jusqu'à leur dernier souffle, ils mettent leur cœur et leur énergie pour un monde meilleur. Parmi les coquelicots, ils reposent en paix et ne sont pas et ne seront jamais oubliés, nous nous souvenons d'eux avec gratitude et nous les honorons avec le plus grand respect afin qu'ils ne cessent jamais de vivre et pour que leurs noms, leurs histoires soient transmises tout comme la flamme du souvenir que je porterais toujours haut et fier pour eux et leurs familles. Aujourd'hui, c'est la mémoire d'un de ces jeunes hommes que j'aimerais honorer avec gratitude, je voudrais, de tout mon cœur, rendre un hommage très respectueux au serjeant numéro TT / 03540 Henry Hector Manton qui a servi avec courage dans le corps vétérinaire de l'armée, 2 ème hôpital vétérinaire, attaché à la 250 ème brigade de l'artillerie royale et décédé il y a 104 ans, le 12 janvier 1917 à l'âge de 22 ans. Sur le front de la Somme.

Henry Hector Manton est né le 9 décembre 1895 à Bedford en Angleterre et a été baptisé le 6 janvier 1895. Il fut le premier fils d'Henry et Kate Manton, du Hop Pole, de la rue Cauldwell, Bedford . La famille Manton avait été des marchands de pommes de terre, de porcs et de bétails et des fermiers liés à Bedford de 1652. Le descendant Henry Manton (1845) était également un fermier et un marchand de porcs, occupant la ferme Hoo et faisant le chemin sur la colline au réservoir d'eau au bord de Clapham Road. Un fils d'une famille de dix-sept mantons. Henry a cultivé à Brickhill, Turvey Park et Rookery ainsi que le Hoo. À une époque, il avait un portefeuille de propriétés assez important et vivait dans une grande maison sur Alexandra Road. Plus tard, il s'est tourné vers le commerce sous licence comme l'un des propriétaires respectueux de Charles Wells. Pendant plus de quatre ans, il a été propriétaire du cygne à Clapham, le Woolpack à Commercial Road et le Hop Pole à Cauldwell Street, respectivement.

Henry Hector a été instruit à Bedford Modern School, située à l'époque à Harpur Street avec le Blore Façade (maintenant le centre commercial Harpur). L ' école réside maintenant, plutôt ironiquement, à Manton Lane après avoir déménagé en 1974 pour des terres qui appartenaient et cultivées par le père d'Henry, avant le déclenchement de la guerre, Henry Hector travaillait comme fermier avec son père.

Entrée en janvier 1916 dans le corps vétérinaire de l'armée, il a reçu son entraînement à Milton Ernest, Bedford, en Angleterre, (il aurait suivi une formation avec les chevaux). Le corps vétérinaire de l'armée a été bien éprouvé lors de la première guerre mondiale et a été responsable du bien-être des chevaux de cavalerie lorsqu'ils ont été blessés sur le front. Il y a eu 2.5 millions de blessés traités, principalement sur le front occidental et 80 % des animaux blessés ont été traités et retournés au travail. Sans que ces hommes s'occupent et soignent les chevaux, les Alliés n'ont peut-être pas gagné la bataille.

Malheureusement Henry était en France, sur le front de la Somme à peine huit mois, à ce moment-là, une promotion du soldat au sergent, récompensée pour sa compétence et sa connaissance du traitement des chevaux. Le 16 janvier 1917, seulement un an après son recrutement dans l'armée, il a été rapporté (selon la nécrologie du Bedfordshire Times) à la famille que Henry avait subi ce qui était censé être un succès opération pour appendicite. Cependant, seulement deux jours plus tard, d'autres nouvelles sont arrivées selon lesquelles il ne s'était malheureusement pas remis après l'opération et était en fait mort le 12 janvier à l'âge de 22. ans.

Il semble probable que, bien qu'il n'ait pas été tué directement en action, en étant basé sur le 2 ème hôpital vétérinaire de la Somme, il aurait été témoin de nombreuses victimes d'hommes et de chevaux venant du Front au cours des mois précédant sa mort, ce qui a entraîné la nécessité d'une nécessité force et bravoure de sa part. Sa nécrologie dans le Bedfordshire Times le 28 janvier 1917 déclarait :

′′ C ' était un jeune homme prometteur, et dans la ville et le comté était bien connu et très populaire ".

Aujourd'hui, le Serjeant Henry Hector Manton repose en paix avec ses amis, camarades et frères d'armes au cimetière de la station Heilly, Méricourt-l'Abbé, Somme, et sa tombe porte l'inscription suivante : ′′ Bien qu'il soit perdu à vue à la mémoire que jamais cher ", et il partage sa tombe avec le Caporal numéro 579 William John Knapton qui s'est battu dans le 23 e bataillon d'infanterie australienne et qui est mort de ses blessures le 11 janvier 1917 à l'âge de 23. ans.

Henry, c'est de tout cœur que je voudrais dire merci pour tout ce que tu as fait, toi qui étais si jeune, tu as répondu courageusement à l'appel du devoir et rejoint les champs de bataille de la Somme sur lesquels, sans relâche, avec énergie et bravoure, pris soin des amis les plus fidèles de l'homme qui ont souffert aux côtés des soldats dans des conditions épouvantables. Sur les champs de bataille, les chevaux et les hommes se sont battus ensemble et ont souffert ensemble, dans la boue, dans le froid, sous le feu ennemi, ils ont remorqué les armes jusqu'à leur dernière force, sans plainte et avec dévotion, ils ont servi avec une bravoure exceptionnelle. Sous le poids des munitions qu'ils portaient sur leurs dos, c'est le poids de la guerre qu'ils endurent en silence jusqu'à épuisement, jusqu'à leurs derniers souffle, des millions de chevaux ont donné leur vie sur les champs de bataille mais dans cet enfer, ils ont trouvé le soin de des hommes comme toi Henry, des hommes au grand cœur qui ont tout fait pour prendre soin de ces héros souvent inconnus et qui, entre tes mains, ont été soulagés du fardeau qu'ils portaient jour et nuit. Vous avez courageusement affronté les larmes silencieuses et les douleurs que ces animaux ont subi dont vous avez pris soin avec amour inconditionnel, sans répit, avec tendresse, vous avez aidé ces pauvres âmes torturées qui portaient sur eux les cicatrices de la guerre, vous étiez leur ange gardien , ces chevaux qui ont vu les horreurs de la guerre trouvées entre vos mains l'humanité, la douceur et l'amour qu'ils n'ont pas vu sur les champs de bataille dévastés par des trous d’obus et dans lesquels ils se noient aux côtés des hommes et qui versent leur sang ensemble. Sans toi, Henry, beaucoup de ces chevaux seraient morts et je suis sûr que tu as sauvé la vie de beaucoup de ces héros silencieux qui ont traversé tant et se sont battus sur tous les fronts, dans les pires batailles de la première guerre mondiale, les vétérinaires tel que vous avez fait un travail exceptionnel et donné de l'amour, des soins et de l'attention à tous ces chevaux, mules, chiens, qui comme les hommes avec lesquels ils ont servi, ont courageusement fait leur devoir. Vous avez fait de votre mieux avec énergie et détermination Henry, sans jamais abandonner, ignorant la fatigue pour guérir et sauver ces héros. Par ta vie que tu as donné, tu as sauvé des millions et des hommes tels que tu auras toujours ma profonde admiration, tu as fait ton devoir jusqu'au bout, de tout ton cœur, avec persévérance, avec patience et amour, tu as fait ton devoir et nous aura toujours pour toi, notre profonde gratitude et notre plus grand respect, Merci Henry, dans la lumière et pour l'éternité, ton nom ne cessera jamais de vivre, nous ne t'oublierons jamais.

Vu Facebook

Ne jamais oublier  

Amicalement  

pour le reportage Kougar, c'est TOP
Je ne connaissais pas ces photos de Neufchatel

Un autre badge version bimétal de l'AVC

Bonjour les Ami(e)s

En refaisant un petit tour sur les anciens sujets  ...
Bonjour les Ami(e)s

Voici une historique et les insignes   ....
Une section de l'Army Service Corps déjà vu ici le REMOUNTS SERVICE
L'ASC Remounts Service était responsable de l'approvisionnement en chevaux et des mules de toutes les autres unités de l'armée.
Ce n'était pas une importante section de l'ASC, malgré le grand nombre d'animaux fournis, s'élevant en 1914 à quatre Remount Squadrons (Escadrons de remontage) qui géraient quatre dépôts en Angleterre (Woolwich, Dublin, Melton Mowbray et Arborfield).

Un escadron se composait d'environ 200 soldats, qui ont obtenu et entraîné 500 chevaux. Il s'agissait généralement de soldats plus âgés et expérimentés.

Les animaux ont été obtenus pendant la guerre par achat obligatoire au Royaume-Uni et par achat en Amérique du Nord et du Sud, en Nouvelle-Zélande, en Espagne, au Portugal, en Inde et en Chine.

Au fur et à mesure que l'armée s'étendait, plusieurs autres escadrons - de l'ASC ont été établis au pays et à l'étranger. Le personnel de l'ASC Remounts sur les théâtres du Moyen-Orient a été complété par des unités similaires de l'armée indienne.

Organisation en Angleterre (at home)

L'ASC Central Remount Depot était basé à Aldershot.
Il y avait également
– Dépôt n°1 à Dublin (Irlande)
– Dépôt n°2 à Woolwich
– Dépôt n° 3 à Sysonby, Melton Mowbray
– Dépôt n° 4 à Arborfield Cross près de Reading

Pendant la guerre, quatre principaux dépôts de remontage supplémentaires ont été créés.
– Shirehampton (pour les chevaux reçus à Avonmouth)
– Romsey (pour Southampton)
– Ormskirk (pour Liverpool) (dépôt situé à Lathom Park)
– Swaythling (centre de collecte de chevaux entraînés dans les trois autres centres pour réexpédition outre-mer).

Une vue de l'immense ampleur de ces opérations peut être jugée à partir des statistiques de Swaythling, telles que publiées dans le "Times" en avril 1919. Jusqu'au 1er avril, il avait reçu 342020 chevaux et mules (317165 des États-Unis; 6712 d'Irlande ; 9357 maison achetée ; 8856 retour de France). Ce jour-là, 3530 animaux ont été logés et soignés par un effectif de 757 hommes.

Nous avons trouvé d'autres emplacements nommés Remount Depots : ils semblent être des points de collecte locaux.
ls comprennent Ayr (Écosse) ; Balmoral près de Belfast (Irlande) ; Gloucester ; Lancaster (Lancashire) ; Leighton Hall près d'Ironbridge (Shropshire) ; Kettering (Northamptonshire); Pluckley (Kent); Redhill (Surrey); Standhouse, Curragh (Irlande); Trentham (Staffordshire); Whitehill, St Boswells (Écosse). Cette liste peut ne pas être complète.

Douze emplacements dans le Somerset ont été utilisés pour les escadrons de mulets.      Son dépôt était situé à Bishops Lydeard près de Taunton; L'escadron F était à Wiveliscombe.

Organisation à l'étranger

Une Base Remount Depot (d'une capacité de 2 600 animaux) et deux Advanced Remount Deports (300 chacun) sont allés en France avec le corps expéditionnaire britannique d'origine. Au fur et à mesure que la campagne se poursuivait, d'autres dépôts de remontage de base se sont ouverts dans les ports de base.

À l'apogée en décembre 1917, ces installations formaient un total de 93 847 chevaux et 36 613 mules.

Remonter les dépôts en France

Une Base Remount Depot. comprend la section « A » qui était basée à York et « B » qui venait de Waterford en Irlande.
Débarqué au Havre le 21 août 1914 mais s'installe rapidement et débarque à Saint-Nazaire le 3 septembre 1914.
Déménage à l'hippodrome au nord de Nantes.
Pendant la période du 2 au 10 octobre, le dépôt s'est déplacé par sections à Rouen. Il a été établi au Château Madrillet et y est resté pour le reste de la guerre.
Dépôt de remontage de base n°2. Le journal de guerre commence le 21 janvier 1915 avec le dépôt déjà en activité au Havre.
Dépôt de remontage de base n°3. Débarqué à Dieppe le 28 janvier 1915 et établi aux camps de  Janval et Hautot.
Aucun dépôt de remontage de base. Implanté à Boulogne. Aucun journal de guerre n'existe et ppourtant il a bien existé.
Pas de 2 Dépôt de Remontage Avancé. Le journal de guerre commence en août 1915 avec le dépôt déjà en activité à Abbeville.
Pas de 5 Dépôt de Remontage Avancé. Etabli à Saint Germer le 7 décembre 1914.
No 6 Dépôt de remontage avancé. Établi à La Houssoye le 28 décembre 1914 par l'arrivée du major Brooksband et de 50 hommes du No 5 Advanced Remount Depot.


Vous trouverez ci-dessous trois cap badges liés à des unités qui auraient servi au dépôt de Lathom en tant que personnel permanent.


Les insignes de l’Army Veterinary Corps AVC. Il n'a obtenu le titre de « Royal » qu'en 1920, lorsque cette reconnaissance lui a été accordée par le roi George pour les services rendus pendant la Grande Guerre. :

Ce Corps était chargé des soins médicaux apportés aux animaux : chevaux, mules enfin tous les animaux de trait) , les chiens, pigeons  ….


Le cap badge


Le collar badge plus petit que le précédent.



Le shoulder title



Le bouton fabricant JENSSENS & Co Ltd LONDON

2- celui de l'Army Service Corps que j’ai déjà évoqué dans un précédent post,  a obtenu  la reconnaissance « Royal »  comme  l'AVC  durement gagnée, ce titre impérial ayant été accordé en 1920.

Les suivants qui ne sont pas de ma collection ...



Le cap badge d'origine était en métal doré et a été remplacé par le cap badge  suivant


en métal doré et en bronze pour les officiers.



Et pour finir et avant sa dissolution, cependant, le Service était identifié par l'insigne en métal doré ou métal blanc et en argent et doré ou en bronze pour les officiers.

Au début de 1914, il ne restait que très peu de soldats « remontés », puis confirmés comme commandement au sein d'un corps plus important. C'est la « norme » pour les anciens soldats de conserver l'insigne du régiment dans lequel ils se sont enrôlés. Il est donc raisonnable que les hommes servant au dépôt de remontage aient été privilégiés et fiers de porter leur insigne d'origine du service de remontage.

Merci pour vos commentaires.

Amitiés à toutes et à tous et bonne journée.

JP62

un cap badge

Bonjour,

IL Y A 105 ANS AUJOURD'HUI :

Wounded horses at No. 23 Veterinary Hospital in the French Artillery barracks at St. Omer IWM (Q 10905)




Dressing the face of a wounded horse at No .23 Veterinary Hospital, St. Omer IWM (Q 10909)




About to 'throw' a horse by means of chains attached to its feet before performing an operation at No. 23 Veterinary Hospital in St. Omer IWM (Q 10911)


Surgeon of the Army Veterinary Corps removing shrapnel from a wounded horse at No. 23 Veterinary Corps Hospital. St. Omer, 16 April 1918. Note the means of chains used to keep the horse still. IWM (Q 11025)


Bandaging the leg of a wounded mule at No. 23 Veterinary Hospital, St. Omer IWM (Q 10907)


Amicalement  

Voici ma contribution avec mon seul title de terrain à ce sujet


Les machines agricoles l’ont un peu replié sur lui même il a été sauver à temps