cherchez l erreur baio. Allemande contre baio. francaise

bjr a tous


Une coupe ou penetre et l autre pique ihihihihihih









amicalement

????????????

et les deux donnent le tetanos.

La baïonnette allemande coupe le choux et la baïonnette française est "typique"; je pense que le posteur du sujet a voulu dire cela ou alors c'est ??????????

En attendant, il paraît que les blessures données par la Rosalie n'étaient pas facile à recoudre à cause de la forme en croix.
La baïonnette allemande scie n'avait pas une bonne renommée car elle enlevait les tripes. ( ça, cela reste à prouver )
Badois 110, pourrais-tu faire un test sur le corps d'un animal mort pour voir si cela est bien de la fiction ou non?

A+

vu la forme d'une dent de scie je n'ai aucun mal a croire que cela devait donner un resultat degeux.

La baionnette dent de scie n'etais distribué qu' aux pionniers,le reste n'est que legende,aucune preuve ne rapporte qu'un soldat fut blèssé ou tuè avec ce genre de baionnette,ce sont des histoires inventées de toute piece apres guerre.

Quand a la lame d'une rosalie,sa forme avais etais etudiée en principe pour provoquer de grave hemoragie de meme que la lame du mosin-nagant.

cdlt

udet1914

udet1914 a écrit:

La baionnette dent de scie n'etais distribué qu' aux pionniers,le reste n'est que legende,aucune preuve ne rapporte qu'un soldat fut blèssé ou tuè avec ce genre de baionnette,ce sont des histoires inventées de toute piece apres guerre.

Quand a la lame d'une rosalie,sa forme avais etais etudiée en principe pour provoquer de grave hemoragie de meme que la lame du mosin-nagant.

cdlt

udet1914

salut


pas si sur .

il suffit d'imaginer une charges française en 14 sur un "rempart allemand " si par chance quelques français arrivaient au contact on peu sans doutes imaginez des corps à corps

n'oublions pas cette devise : seul le mouvement en avant poussé jusqu'au corps à corps est décisif

de là il ne fait aucuns doutes sur les suites de ce genres de charges , imaginons sur les pentes denses et touffus du bassin de la meurthe ces charges ou vous distinguer un homme à pas plus de 15 m

à un moment je pense que l'on peu s'embrasser l'oreille

légendes ou pas des hommes on raconter leurs guerre d'autres pas ( comment dire que vous avez planté votre baionnette dans le ventre d'un homme )

udet1914 a écrit:

La baionnette dent de scie n'etais distribué qu' aux pionniers

cdlt

udet1914

Ce n'est pas tout à fait exact.



cdt
croixdefer

Citation :

pas une bonne renommée car elle enlevait les tripes. ( ça, cela reste à prouver )

C'est ce que l'on nous enseignait, quand on parlait de la barbarie des Allemands, qui coupaient aussi les seins des femmes et les bras des enfants.
Les dents ne sont pas dans le bon sens pour sortir les tripes.
Des anciens surnommaient la Lebel "la baïonnette goutte de sang". Avant de les découper pour en faire des tournevis ou les utiliser comme cordeaux dans leur jardin, ils disaient qu'elles déclenchaient hémorragie interne, infection, péritonite. Et les coups se portaient à l'abdomen, pour éviter qu'elle se coince entre les côtes. Très sympa tout cela. Je ne sais pas, officiellement, si la question souvent évoquée de la "convention de Genève" est une réalité. On sait que ce type de lame était aussi porté sur le MAS 36, encore en service dans les années 70.

Il y a eu des charges à la baïonnette, comme d'autres aberrations. L'impact psychologique devait être terrible (voir dans "capitaine Conan" la fin de l'histoire, quand il évoque la terreur qu'inspiraient les corps francs parce qu'il maniaient le surin).
Deux anecdotes : le père d'un ancien lors d'une attaque, avait mal fixé la sienne, elle est tombée quand il a voulu porter un coup. Son adversaire, qui, ne l'a pas manqué, et il avait encore une belle cicatrice à la cage thoracique.
Un autre aurait survécu à une attaque en enfreignant une consigne... ll parait qu'il était interdit, au cours d'une attaque à la baïonnette, de garder une cartouche engagée dans la chambre. C'est pourtant ce qu'il avait fait, et cela lui avait permis de dessouder d'une bonne 8mm un adversaire qui allait prendre le dessus.

Je précise que ces anecdotes ne viennent ni de Beaucaire ni de Tarascon, mais des Ardennes, où la galéjade n'est pas trop dans la culture;

Voir aussi dans "à l'Ouest rien de nouveau" ce que narre Eric Maria Remarque, au sujet des nouveaux arrivés au front ; les anciens faisaient la chasse aux baïonnettes à dents de scie, car s'ils se faisaient prendre par l'adversaire avec de telles armes (je devrais écrire "outils") un très mauvais sort leur était réservé. Est-ce pour cette raison que les dents en furent réglementairement arasées ?

de toute façon un combat au corps a corps Ils en sont venu aux pelles....
Mon arriere grand pere qui à fait la guerre pour l'Italie disait qu'il avait peur de ses mains, comme si elles avaient une vie propre independante de sa volonté. Quand on est gosse on ce sit que pépé perd la boule. Maintenant je n'ose imaginer ce qu'il a pu faire et subir.

En tout cas, pour revenir à la baio, vous etes face des mecs qui vous le savez ont des baio à dents de scie. Vous savez qu'il va falloir aller les chercher avec la votre.... Psychologiquement c'est déjà pas bonheur de mettre la baio au canon mais en plus savoir que celle d 'en face sont crantées.....

Bonjour,

A ce sujet lire "Témoins" de Norton Cru. On y parle de toutes les "légendes" de guerre.
Il faut savoir que ce qui a causé le plus de blessures et de morts pendant cette guerre ce sont les obus.
Les hécatombes dues à la mitrailleuse du début du conflit (Qui fut la période la plus meurtrières en terme de nombre de morts par jour) furent vite supplantées par celles de l'artillerie.
Quant aux plaies par armes blanches, elles furent plus que négligeables en nombre.
N'oublions pas une chose : En 14 18 le traitement des infections ne se fait que superficiellement, il n'existe pas d'antibiotiques. C'est l'une des premières causes de décès. Paradoxalement c'est chez les bléssés de la face qu'on trouve le plus grand taux de survie, cela étant du au fait que ces plaies saignent abondamment et donc "lavent" les lambeaux en repoussant les saletés à l'extérieur (Lire "Gueules cassées" de Sophie Delaporte). Le tétanos fait aussi des ravages en dépit des sérums antitétaniques administrés, le transport des blessés par train dans les wagons à bestiaux où l'on avait transporté des chevaux en étant la cause car ces animaux transportent cette maladie.
Ce sujet de la baïonette revient souvent...

Pélerin.

les artilleurs craignaient les balles, les fantassin les obus. on a peur de ce que l'on ne connais pas. La charge a la baio ça fait pas rever.... Et les corps a corps furent monnaie courante.

Citation :

Pélerin

Bonsoir

Une explication par Anthony Carter sur la supression des dents de scie




cdt
croixdefer

Bonjour à tous,
tout çà fait d'accord avec Pélerin, les armes blanches ont causé un nombre infime de blessures de guerre, moins de 1% en 1914 et presques inexistantes durant la guerre de tranchées. La plus grosse proportion de blessures était due en priorité aux éclats d'obus (jusqu'à preque 80 % des blessures). Curieusement, la part des schrapnels demeurait faible, comme celle des balles. Cette dernière cause de blessures augmenta lors de la ruée allemande et lors de la reprise de l'offensive par les alliées après le 18 juillet 1918.
La part de blessures dues aux gaz augmenta elle aussi lors des dernières années de guerre. Malheureusement, les statistiques n'ont été établies que pour les blessures et non pas pour les décès.
De toutes façons le corps à corps chanté par les patriotes cocardiers était très rare, et de nombreux combattants de Verdun, par exemple, ont été blessés ou tués sans avoir vu l'ennemi. Comme certains l'ont dit sur un autre forum, on parle "d'attaque à la baïonette", alors qu'on aurait pu aussi parler "d'attaque en molletières", ce qui frappe tout de même moins les esprits...Et dans un "corps à corps" le pistolet ou le fusil sont plus utilisés car mettant moins en danger le porteur du coup qu'une arme blanche. Lire à ce sujet "les combattants de la Grande Guerre" de Jacques Meyer.

Cordialement
P. Lamy

limiter la baio a dire que ce n'est que 1 pour cent des blessures c 'est balayer du revers de la main la tension nerveuse et l'angoisse que cela represente de mettre la baio au canon....
Les balles ont moins tuée que le canon, plein de chose ont moins tuées que le canon, ça n'enleve rien à l effroi des combattants quant ils devaient y faire face.

Tout à fait d'accord, mais la tension qui précède l'assaut est un amalgame de beaucoup de choses, dont cette fameuse baïonnette, mais pour beaucoup le souhait de ne pas être tué ou de n'avoir qu'une "fine blessure".
Les combattants qui quittent la tranchée lors de l'assaut sont comme des marins à qui l'on demenderait de sauter dans une mer déchaînée.
Il n'en reste pas moins que les blessures par arme blanche sont d'une infime proportion, sans pour autant diminuer l'impact psychologique très fort de telles armes.
Cordialement
P. Lamy

Bonsoir

Voici une propagande française d'époque posté par Christian MERY sur l'excellent forum de l'AFCB.




cdt
croixdefer

Et les dents font aussi penetrer des morceaux d uniformes, terre et autres agents infectieux.
Pour la cartouche chambree cela se faisait car apres avoir pique dans le corps le coup tire permettait de retirer la rosalie (recule), sans la briser car fragile. Mythe ou realite...

Bonsoir

De Gaulle fût blessé par une baïonnette

"D'après le compte rendu ultérieur de l'intéressé, recoupé par témoignages, il est évident qu'en ce 2 mars 1916, après avoir subi et repoussé plusieurs assauts, la 10e compagnie se trouve pratiquement encerclée. Pour échapper à l'anéantissement, il lui faut rallier une unité voisine, la plus proche sur la droite. C'est cette manœuvre que tente de Gaulle quand il entraîne dans cette direction, baïonnette au canon, les quelques hommes valides qui lui restent. Progressant tantôt par bonds, tantôt en rampant, ils sont bientôt submergés, à demi aveuglés par les explosions. Le capitaine roule dans un trou d'obus occupé par quelques Allemands, l'un d'eux lui porte un coup de baïonnette, la lame « pénètre au tiers supérieur de la cuisse gauche pour ressortir au tiers moyen de l'autre côté ». Le blessé s'évanouit aussitôt sous l'effet de la douleur et sans doute de la fatigue."

cdt
croixdefer

Bjr a tous

je vois que le sujet interresse pas mal de membres

a mon avis, la baionnette Allemande etait bien concue pour un eventuel combat rapproche en provoquant des degats irreversibles

je vois cas cette epoque la guerre bacteriologique etait de mise chez les Allemands (croixdefer)

Pour ce qui est de la rosalie, elle ne fait pas le poid lors d un combat rapproche .... (imaginez)

Amicalement

oui enfin guerre bacteriologique pour la propagande.....
et entre se faire transpercé par une rosalie ou une autre le resultat est la meme.... sauf que la rosalie provoque une hemorragie interne.... et que l'allemande fait une plaie ouverte.

salut

quoi qu'il en soit chaque soldat en avait une ....

la rosalie c'est pas pour faire cuir une saucisse ...

moi mon arrière grand père me disait qu'il avait un allemand au bout de sa baio et il courrait après le deuxième en grimpant un col des vosges