Bonjour,
Merci de ce partage,
les blessures par baïonnette sont excessivement rares, moins de 1% des blessés et inexistantes quasiment en fin de conflit.
Beau parcours, mais certes à méditer, le sort d'un soldat de la classe 1912 qui aura sans doute passé au moins 6 ans sous les drapeaux...Et survécu à ce terrible conflit.
J'ai relu semaine passé Barthas, c'est assez édifiant la façon dont sont traités les poilus jusqu'en 1917...
Merci des photos.
Cordialement.
P. Lamy