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| Combats Col de la Chipotte/Mortagne | |
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+2Alpin sentinelledelorraine 6 participants | Auteur | Message |
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sentinelledelorraine
Nombre de messages : 167 Age : 54 Localisation : Vosges Date d'inscription : 20/09/2016
| Sujet: Combats Col de la Chipotte/Mortagne Mar 20 Mar 2018 - 23:37 | |
| Bonsoir à tous, Afin d'approfondir mes connaissances sur l'histoire locale, je serais à la recherche de documents, images, liens internets, journaux de marche... concernant les combats de l'automne 1914 qui ont eu lieu au col de la Chipotte, dans le secteur de la Mortagne, Xaffévillers, Ménil sur Belvitte. Merci d'avance à tout ceux qui pourront me permettre d'avancer. Bien amicalement |
| | | Alpin Banni
Nombre de messages : 838 Localisation : côte 900 Date d'inscription : 22/02/2016
| Sujet: Re: Combats Col de la Chipotte/Mortagne Mer 21 Mar 2018 - 20:07 | |
| Bonsoir, À part vous dire d'aller faire un tour à la Ménelle, où se trouve un petit musée. Je pense que si vous rencontrez Jacques, pour se qui est document il pourra vous renseigner. Bonne soirée Alpin |
| | | sentinelledelorraine
Nombre de messages : 167 Age : 54 Localisation : Vosges Date d'inscription : 20/09/2016
| Sujet: Re: Combats Col de la Chipotte/Mortagne Jeu 22 Mar 2018 - 22:19 | |
| Bonsoir, il est vrai que Jacques pourrait très certainement m'en dire plus, mais hélas les horaires de la Menelle sont vraiment incompatibles avec mon emploi du temps... Je vais continuer mes recherches. Bien amicalement
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| | | lio05
Nombre de messages : 5 Localisation : Hautes Alpes Date d'inscription : 31/12/2016
| Sujet: la bataille de Ménil et du col de la Chipotte août sept 1914 Lun 22 Juil 2019 - 16:28 | |
| Bonjour à toutes et à tous !
Voila plusieurs années que moi même et mon ami Hubert TASSEL auteur du livre ( L'Ubaye et la guerre de 1914-1918, la guerre du 157e RI, la tragédie de la bataille de Manil-sur-Belvitte, les poilus ubayens aux éditions du Fournel à l'Argentière-la-Bessée) travaillons sur l'histoire des régiments de notre département. Voici un résumé de l'implication des régiments de Briançon et Gap dans les combats de la Mortagne, vous trouverez dans les JMO du 157e, 159e et 163e RI des explications plus complètes.
Le 157ème Régiment d’Infanterie par Hubert TASSEL
Nous sommes en août 1914. Le 2 août 1914, l’ordre de mobilisation générale est transmis par la Gendarmerie au 157ème Régiment d’Infanterie de Ligne (souvent appelé quinze/sept) dont deux bataillons stationnent en Ubaye à Tournoux, Jausiers, Viraysse, Roche-La-Croix et St-Vincent-les-Forts. Les deux autres bataillons stationnent à Gap. Le 15/7 a été mis sur pied en 1887 comme le 15/8 (Tarentaise et Maurienne) et le 15/9 de Briançon, lors de la création de 18 régiments territoriaux pour défendre tous les ouvrages fortifiés le long de la frontière de l’Est. Début des années 1900, ce régiment s’instruit, manœuvre, parcourt à pied, en compagnie de mulets tous les vallons ubayens à Fours ou ailleurs. Il participe à de nombreuses réalisations routières et a notamment travaillé au déblaiement de la piste de Restefond. La guerre approche. En 1914, c’est devenu un gros régiment avec plus de 50 officiers, 264 sous-officiers, plus de 4000 hommes, 117 chevaux de selle ou de trait et 232 mulets. De nombreux Ubayens y font leur service militaire. Dés le 1er août, selon les instructions en vigueur, l’état-major du régiment tient à jour le JMO (le journal de marche et des opération). Ainsi, on peut connaître exactement le déroulement des actions principales du régiment. Le régiment se met donc sur pied de guerre et reçoit ses réservistes du 3 au 7 août. Or, le 3 août, l’Italie annonce sa neutralité. Le 15/7 n’a plus de raison de défendre la frontière et est donc mis à la disposition de l’état-major. C’est pourquoi, on va vite l’engager au sud de l’Alsace. Peu à peu, il quitte ses différents casernements Le 12, le régiment est prêt. Le 13, il rejoint Chorges et est embarqué pour l’Alsace le 17 à bord de 5 trains. Dès le 19 aout, c’est le baptême du feu à Walheim près de Mulhouse. Léon Donneaud de Larche est sans doute le 1er tué de ce conflit. La bataille de Ménil-sur-Belvitte Mais la situation se dégradant dans les Vosges après la débâcle de Morhange où les allemands tentent de percer vers le sud en direction de Baccarat et de Raon-L’étape afin de contourner Nancy, on a besoin de renfort. Le régiment, toujours disponible, est embarqué le 23 pour rejoindre St-Dié où il arrive le 25 août. Il y arrive en compagnie d’autres unités des 88ème et 89ème brigades de la 44ème division. Cette division fera partie d’environ 225 000 Français qui vont s’opposer à 300 000 Allemands dans ce qu’on appelle la Bataille de la Mortagne.Car face à l’est se trouve au nord la 1re armée du général de Castelnau et à sa droite la 2ème armée du général Dubail face aux Vosges. Mise en échec entre Morhange et Sarrebourg, la 1re armée bat en retraite à l’est de Nancy vers la Mortagne (affluent de la Meurthe passant par Rambervilliers) du 21 au 23 août. Lunéville est pris par les Allemands. L’intention de l’état-major est de protéger la trouée de Charmes en se liant à l’armée du général Dubail. ? En effet, l’idée des Allemands est de passer par cette trouée de Charmes séparant les forts de Toul de ceux d’Epinal puis d’atteindre la Meuse en tentant de prendre Commercy, Bar-le-Duc et Verdun, par un mouvement de revPar contre, le généralissime Joffre donne l’ordre de défendre Nancy et de tenir à outrance devant Charmes tandis que Dubail sur la Mortagne et la Meurthe pourra attaquer de flanc les forces allemandes. Du 25 au 1er septembre, de nombreuses attaques successives de tous les bataillons permettent enfin à la 44ème Division de reprendre le col de la Chipotte. En effet, la possession de ce col a une importance capitale, les Allemands pouvant alors poursuivre leur avance dans un terrain plus facile. C’est pourquoi dès son débarquement à St-Dié, à marche forcée, le 15/7 rejoint le village de Bru au nord de Rambervilliers et y cantonne. L’attaque est prévue pour le 26. Ce jour là, le 3ème bataillon soutenu par les autres bataillons attaque les Allemands qui sont au Ménil. Le débouché du bois d’Anglemont est terrible car il est victime des tirs de 105 mm et de 77 mm situés derrière le plateau de Ste-Barbe. Impossible de franchir le glacis de 800 m. Le bataillon se replie et rentre dans les bois. Le 27, nouvelle attaque avec les 1ers et 4ème bataillons. Cette fois-ci le village est atteint sauf la partie nord. Puis les 2ème et 3ème bataillons attaquent en direction de Ste-Barbe à travers bois afin de s’emparer des batteries de 105 qui ont fait échouer les attaques précédentes. Mais les Allemands qui ont surpris ce mouvement empêchent cette progression par des feux nourris qui causent de nombreuses pertes. Le 3ème bataillon passe une nuit terrible. Au petit matin du 28 août, dès 5 h, une contrattaque allemande menée par au moins deux régiment va causer de nombreuses pertes au 15/7. Mais non soutenus à l’arrière, les deux bataillons engagés sont obligés de se retirer sur les positions de la veille. Sur un glacis de 200m environ sous les feux de l’artillerie allemande. Des pertes importantes sont constatées. Les jours suivants, le régiment est reconstitué et occupe des tranchées établies autour de Germénil. A côté, c’est le 159ème RIA qui a la charge de s’emparer du col de la Chipotte tandis que le 163ème RI combat du côté d’Anglemont. Durant ces quelques jours, ce sont une vingtaine de régiments, soit l’équivalent de 2 divisions qui participent à ce combat désormais appelé la Bataille de Mortagne. Mi-septembre, les Allemands sont enfin contenus en avant de Ménil et du col de la Chipotte. La guerre des tranchées va commencer. Le bilan de ces journées de combats est extrêmement lourd. Pour la seule journée du 28, selon le JMO, on recense 27 tués qui sont ramenés à l’arrière ainsi que 168 blessés mais on déplore l’absence de 647 hommes resté sur le terrain qui sont considérés comme disparus. En 2 jours à peine, le 15/7 perd ¼ de son effectif. A l’heure où sont écrites ces lignes, j’ai recensé 32 Ubayens tués à l’ennemi ce jour là. Ce fut considéré comme une hécatombe même s’il y a eu plus de pertes du côté allemand. Dès la nouvelle connue en Ubaye, ce fut un terrible choc. A peine une quinzaine de jours après le début du conflit, l’Ubaye entre de plain-pied dans l’ambiance redoutée de la Guerre. Même si, par la suite, d’autres Ubayens tombèrent au front, la bataille de Ménil fût sans aucun doute la plus terrible. Les pertes occasionnées à Verdun ou au Chemin des Dames furent moindres Quelques mots sur la poursuite de la guerre du 15/7. Fin 1914, le 15/7 va se battre dans la Woevre, à l’est de Verdun. Puis, on le dirige en Belgique où il se bat sur l’Yser. Le roi des Belges visite des blessés du 15/7 à l’hôpital de Furnes. En 1915, il est ramené en France et se bat à Flirey en Meurthe-et-Moselle de janvier à mars. D’autres Ubayens appartenant toujours au 15/7 tombent à nouveau à. Flirey, à Bouconville. Puis en 1916, à sont tour, il participe aux combats de Verdun et d’Avocourt. Enfin, il rejoint les Vosges du côté de la Chapelotte avant d’être désigné en 1917 pour renforcer l’armée d’Orient au sein de la 76ème DI et ne rejoint la France qu’en 1919.
Pour des informations complémentaires, vous pouvez nous contacter.
Cordialement. Lionel |
| | | junker88
Nombre de messages : 2655 Age : 54 Localisation : Lorraine Date d'inscription : 15/05/2015
| Sujet: Re: Combats Col de la Chipotte/Mortagne Lun 22 Juil 2019 - 18:28 | |
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| | | lio05
Nombre de messages : 5 Localisation : Hautes Alpes Date d'inscription : 31/12/2016
| Sujet: Merci pour le lien Lun 22 Juil 2019 - 20:01 | |
| Bonsoir, Un grand merci pour le lien, je ne connaissais pas ce livre comme quoi les forums apportent une mine d'informations. Le témoignage de Lucien Blanc du 157e RI du livre de Christian Brun, "Une journée inoubliable, 11 novembre 1918", Editions du Fournel Le 28 août, combat de Ménil Le jour n’a pas paru encore que nous sommes réveillés précipitamment. L’ordre d’attaquer va bientôt être donné, les officiers donnent leurs ordres. Ma compagnie est rassemblée au bord de la route à l’entrée du village, prête à partir. À ce moment la 1re compagnie rentre dans le village qui a été évacué complètement pendant la nuit. Je cherche des yeux un camarade du pays, Paul Beynet d’Orpierre. C’est lui qui me voit le premier. L’on a à peine le temps de se serrer la main. Qui m’aurait dit que cette journée devait être fatale pour nous deux, car j’ai su plus tard par un de ses camarades, prisonnier comme moi, que Paul Beynet était mort au combat de Ménil le 28 août. Enfin l’ordre de l’attaque est donné. Déjà la 14e compagnie à notre gauche et la 13e au-devant de nous sont déjà déployées en tirailleurs et gravissent la hauteur à droite de Ménil. L’ennemi occupe la hauteur et la lisière du bois. Il s’agit d’aller les déloger. Ce qui semble très facile d’après l’avis de nos chefs. « Nous sommes à nombre égal, bataillon contre bataillon ennemi , dit notre gros commandant, de plus deux régiments sont à notre réserve, ainsi que le reste du 157e, car il n’y a à peu près que le 4e bataillon qui va donner l’attaque, aussi il s’agit d’y aller avec confiance et courage ». Le lieutenant-colonel caracole joyeusement sur son cheval tandis que notre commandant met pied à terre et se dirige aussi avec nous vers le terrain de combat. Déjà sur le plateau la fusillade crépite de part et d’autre, la 13e compagnie est déjà engagée. En moins de 10 minutes nous arrivons déployés en tirailleurs dans les rangs de la 13e. Beaucoup de morts et de blessés jonchent déjà le terrain. Nous sommes là, couchés dans des champs de luzerne, ne voyant presque rien au-devant de nous, tirant au hasard. Notre lieutenant le sabre d’une main, le revolver de l’autre, le béret rejeté sur le derrière de la tête et tombant sur le cou ressemble plutôt à un forcené qu’à un homme. Il n’est jamais couché, lui, toujours droit ou à genoux, commandant les bonds en avant. À chaque bond une partie de la ligne de tirailleurs tombe car en se relevant nous sommes découverts par l’ennemi. Eux, l’on ne peut pas les voir, à peine distingue-t-on parfois des silhouettes grisâtres se dissimulant à la lisière du bois. L’on arrive enfin sur le plateau. Nous sommes à couvert dans des avoines, mais je crois que nous sommes bien repérés par l’ennemi car les hommes tombent comme des mouches. Un camarade de mon escouade est blessé à l’épaule et au bras à 50 cm de moi. Le caporal Cates reçoit une balle en plein front. Il ne souffre guère, le pauvre. L’on entend des cris de douleur de tous côtés, mais je n’ai guère la curiosité de regarder tout ce qui se passe à les côtés, couché à plat ventre, j’arme fiévreusement mon fusil et tire au hasard vers l’ennemi sans relâche. J’attends à chaque seconde la balle qui me sera destinée car j’ai le pressentiment que nous avons été conduits à la boucherie. Néanmoins je garde toujours mon sang-froid, le canon de mon fusil me brûle la main, mais je continue quand même à tirer. À ce moment le lieutenant qui se relevait pour commander un nouveau bond reçoit 4 balles à la fois. Il retombe en poussant des cris de rage et de douleur. « Ah ! Les vaches ! Les bandits, ils m’ont tué ! Ah ! Je souffre ! Je souffre ! Coudert, Coudert ! , crie-t-il à son ordonnance, prends mon revolver, achève-moi, je souffre trop ! Sergent Bartoli, prenez le commandement et luttez jusqu’à la mort ! ». « Oui mon lieutenant, je le jure », dit le sergent Corse. Il râle encore quelques instants, dans son agonie, maudissant encore l’ennemi : voilà comment mourut notre terrible et intrépide lieutenant Jullien. De tous côtés la fusillade crépite maintenant avec violence, surtout les mitrailleuses. L’artillerie qui s’était tue jusqu’ici se met de nouveau de la partie. Là-bas dans le village le combat semble se livrer avec fureur. L’on attend toujours des renforts des régiments en réserve, mais rien n’arrive. « Nous sommes perdus », dit le sergent Bartoli, à côté de moi. Tous mes camarades sont morts ou blessés. Je me relève debout, tout hébété. Je ne sais quelles idées me traversaient à ce moment le cerveau, mais je ne perds pas ma présence d’esprit. Les Allemands arrivent sur nous baïonnette au canon en poussant leur féroce cri de guerre. Que faire ? Les attendre ? C’est la mort certaine dans quelques minutes. Il faut essayer de fuir et de leur échapper. C’est un sauve-qui-peut général. Je pars au pas de course à la descente du plateau, le sac ne pèse guère sur le dos. Dans la petite vallée je suis à l’abri des balles, là se trouve une petite grange pleine de soldats épouvantés, n’osant plus fuir, se trouvant dans un abri momentané. Une idée me vient : me joindre à eux, une autre de me coucher dans un petit ruisseau et me cacher dans des ronces. C’est les seules chances d’avoir la vie sauve. Mais quelque chose me dit que c’est très mal et lâche pour un soldat de se cacher devant l’ennemi. Il faut donc essayer de se sauver et gagner la forêt de Saint-Benoit. C’est la seule issue de fuite, car nous sommes encerclés comme dans un fer à cheval. Mais il faut traverser la petite vallée, gravir encore une petite hauteur et retomber de nouveau dans un petit bas-fond pour arriver à 3 ou 400 mètres à l’abri du bois. En quelques secondes mon idée est tracée. Je balance mon sac qui est beaucoup trop lourd et inutile et je pars de nouveau au pas de course. Je traverse toute la vallée balayée par les balles et les obus, beaucoup de fuyards comme moi tombent la face en avant. C’est un enfer de mitraille. Les balles crépitent sur le sol comme la grêle. Une forte odeur de poudre me prend à la gorge. J’arrive sur les flancs du coteau, je le gravis sans être touché. Oh ! Miracle ! Dans quelques minutes je vais être sauvé, j’ai bon espoir maintenant. Je cours toujours enjambant des cadavres et des blessés à chaque pas. Mais tout-à-coup je ressens à la jambe gauche comme une commotion électrique, ou comme le cinglement d’un coup de fouet. Je tombe mais je me relève aussitôt et essaie de nouveau à courir quand une nouvelle balle me traverse l’index de la main droite et brise le magasin de mon fusil qui vole en éclats. Je fais quelques pas encore, mais ma jambe ne peut plus me soutenir. Je sens que je suis sérieusement atteint au genou. Je roule plutôt que je ne tombe dans un sillon de charrue. Le hasard m’avait fait tomber là et c’est ce sillon qui m’a sauvé la vie. Le feu d’infanterie et surtout des mitrailleuses redouble encore d’intensité. J’entends le sifflement rapide et continu des balles au-dessus de ma tête, les tiges d’avoine sont coupées à vingt centimètres du sol. Plusieurs balles crépitent aussi dans la terre de tous côtés. De la main qui me reste libre, je creuse avec les ongles un petit trou pour cacher la tête. À ce moment j’entends des cris d’épouvante et de douleur, des râles d’agonie provenant de la petite grange où j’avais eu l’idée de me cacher. Les Allemands sont arrivés et dans la fureur du combat, massacrent tous ceux qui s’y étaient réfugiés, à coup de crosses et de baïonnettes. Peu après un gros nuage de fumée monte de la vallée : la grange est incendiée. J’entends confusément les crépitements du feu mêlés aux râles des blessés car beaucoup doivent succomber dans l’incendie. Le feu de notre 75 vient de reprendre avec fureur ainsi que nos mitrailleuses qui sont postées sur la lisière du bois de Saint-Benoit. Les Allemands se replient alors un peu en arrière en emportant leurs blessés. De la petite hauteur où je suis couché, je distingue tous leurs mouvements, mais je me hasarde guère à lever la tête car je suis placé entre deux feux. J’ai plus à craindre maintenant des balles et obus français que des allemands. Bonne soirée à toutes et tous. |
| | | PETIT DIABLOTIN
Nombre de messages : 2266 Age : 59 Localisation : ISERE Date d'inscription : 06/11/2016
| Sujet: Re: Combats Col de la Chipotte/Mortagne Lun 19 Aoû 2019 - 20:22 | |
| Bonsoir, Je découvre à l'instant ce post Merci beaucoup pour ce partage. Jean-luc |
| | | junker88
Nombre de messages : 2655 Age : 54 Localisation : Lorraine Date d'inscription : 15/05/2015
| Sujet: Re: Combats Col de la Chipotte/Mortagne Lun 19 Aoû 2019 - 20:28 | |
| Bonjour Au cas où cela intéresse quelque un j ai quelques douilles donc inertes trouvées l année dernière par mes soins à la chipote je peux en envoyer gratuitement contre remboursement des frais de port. |
| | | sentinelledelorraine
Nombre de messages : 167 Age : 54 Localisation : Vosges Date d'inscription : 20/09/2016
| Sujet: Re: Combats Col de la Chipotte/Mortagne Sam 24 Aoû 2019 - 11:08 | |
| Bonjour à tous, ayant du dû faire face à un déménagement compliqué ces dernières semaines je n'ai pas vu que le post avait été suivi. Dans tout les cas un grand merci, car entre les témoignages et les liens je vais pouvoir me repencher sur le sujet, et pourquoi pas me rapprocher de certaines personnes proches de ce site. Bien amicalement |
| | | metaldesign
Nombre de messages : 139 Localisation : Nord Date d'inscription : 26/06/2019
| Sujet: Re: Combats Col de la Chipotte/Mortagne Sam 24 Aoû 2019 - 12:43 | |
| bonjour une carte d epoque pour mieux localiser le lieu il y a un chemin de randonnée qui passe par cet endroit |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Combats Col de la Chipotte/Mortagne | |
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| | | | Combats Col de la Chipotte/Mortagne | |
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